1. La Belle des années folles - Chapitre 8


    Datte: 13/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Ch. 8- Une soirée parmi d’autres, au Carré de dames. Première partie. Nous sommes ne l’oublions pas, au tout début des années 20. Autant dire qu'à cette époque, vu les restrictions des années de la Grande Guerre à peine terminées, tout est prétexte à faire la fête… Un soir, quatre hommes sont arrivés plus qu'éméchés et pas loin d'être fin-saouls. La belle Jeanne, peut-être était-ce à cause de son nouveau métier d'inciter les hommes à boire, ou peut-être parce que dans une autre vie elle avait été dépucelée lors d'une partie très arrosée par des soldats, en tout cas Jeanne est toujours très excitée d'une façon un peu spéciale, par les hommes, ou les femmes d'ailleurs, qui ont bu et qui sont dans cet état second et euphorique que leur confère l'alcool… Elle est de plus, irrésistiblement attirée par les hommes. D'ailleurs le fait qu'elle-même soit plus ou moins ivre, la libère énormément de ses tabous et lui permet de laisser plus facilement libre court à ses envies secrètes vis-à-vis des hommes. Et puis surtout, dans ces moments là de demi ivresse, elle a très envie d’assouvir ses fantasmes d'être baisée et partousée, de sucer des bites, encore et encore, plusieurs même à la fois quand c’est possible… Enfin de se lâcher quoi, et de se laisser aller à faire tout ce qui ne peut se faire dans le cadre des convenances sociales habituelles… Les quatre hommes font visiblement une '' tournée des grands ducs ''. La consigne pour les femmes du '' Carré de Dames '', c’est de retenir à ...
    ... tout prix la clientèle, même déjà très éméchée, lorsqu'elle se donne à entrer dans le bar. Mieux vaut que ces clients laissent leur argent ici plutôt que d’aller le dépenser ailleurs ! Aussi, chacune doit donc s'employer à faire en sorte que ces messieurs dépensent le plus possible dans le bar et tout doit être fait pour cela… Les deux premiers entrent à l’intérieur en force et avec fracas ; non qu’ils soient en colère ou agressifs, mais parce qu’ils titubent pas mal, heurtant le huis de la porte de l’épaule … Le troisième, un moment en suspend sur le seuil de la porte, amorce déjà un demi-tour vers la rue. L’Adèle fait un signe rapide à Léo qui se précipite et rattrape prestement le larron dans l’entrée pour le ramener à l’intérieur… Le quatrième, un petit blondinet, se présente à son tour en titubant plus que les autres. Il fait deux pas et s’affale sur la première table, près de la porte… Fernande s’est approchée des deux premiers et déjà met en avant sa poitrine volumineuse et à moitié dénudée… Joyeuse, elle, s’est mise debout, deux pas derrière Fernande, et attend le suivant à se présenter sans faire un choix à l’avance… Jeanne imperturbable, reste debout devant le comptoir, accoudée au zinc… Déjà, à la vue des hommes elle sent frémir son entrejambe et la pointe de ses seins. Tout de suite elle remarque que l’un des hommes, celui qui a amorcé le demi-tour à l’entrée, est comme elle aime à le dire : un '' grand beau mec ''. Elancé, plutôt grand, de beaux yeux clairs, des ...
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