une histoire, la fin
Datte: 13/04/2018,
Catégories:
Gay
Est arrivé le temps de l’université. Je prenais un peu plus d’indépendance, dans ma chambre universitaire, le soir je bossais mes cours, sans oublier quelques branlettes en pensant à des mecs. J’ai commencé à me doigter le trou, d’abord avec un doigt, puis un deuxième en les mouillants avec ma salive. Je les faisais tourner, les enfonçant de plus en plus profond. Lorsque je sentais l’éjaculation poindre, je massais ma prostate ce qui augmentait la puissance du jet de sperme. Une fois, le jet était tellement puissant, qu’il atteint mon visage. De ma langue, j’ai essuyé ce qui avait touché ma bouche. J’ai trouvé ce goût un peu âpre, légèrement salé. A chaque fois que je me masturbais, je prenais un peu plus de plaisir à manger mon sperme. Je le trouvais même bon. N’étant pas assez souple pour m’auto sucer, j’ai décidé un soir de me mettre sur le dos, les jambes bien relevées le long du mur, mon sexe juste au dessus de ma bouche pour avaler toute le sperme que j’éjaculerai. J’étais ravi de pouvoir avaler une grande quantité de sperme.Nous étions nombreux dans les amphithéâtres, difficile de se faire de nouveaux copains. Un étudiant m’accosta. C’était un gars presque roux, un corps mince, d’allure élégante. Nous avons fait connaissance devant un café. Nous suivions le même cursus. Il m’apprit qu’il n’avait pas obtenu de chambre en cité, il avait un petit appartement en ville. Pour apprivoiser ce nouvel environnement, nous restions souvent ensembles en cours. Nous allions à la ...
... bibliothèque pour travailler, soit nous nous séparions sur le campus. Nous avons appris à nous connaître. Je le trouvais sympathique et très ouvert.Nous aimions passer du temps ensembles. A chaque jour qui passait, je le détaillais, découvrant quelques poils débordants de son t-shirt, ou bien lorsqu’il levait un bras, je regardais ses aisselles poilues. Mon fantasme revenait à la surface en imaginant ce que cachaient ses vêtements.Plus le temps passait, plus il se découvrait. J’appris qu’il s’appelait Eric, qu’il avait 20 ans. Sa famille était assez aisée. Il était le deuxième d’une fratrie de quatre. Son frère était l’aîné de deux ans, ses deux sœurs plus jeunes. Plusieurs semaines après notre rencontre, un jour à la bibliothèque, je sentis son genou toucher le mien. Je me dégageais un peu. Il revint à la charge et cette fois, je ne bougeais pas. Son genou restait bien collé au mien. Il n’y avait plus de doute, c’était un appel .Seul dans ma petite chambre, j’imaginais comment pouvait être sa bite (toujours mes fantasmes). Etait-il rasé, circoncis, de grosses boules, une petite ou grosse queue, longue, épaisse. Le lendemain, je me suis réveillé avec une gaule d’enfer qu’il a fallu que je calme en me branlant sous la douche en pensant à mon nouveau copain.Il était 17 heures, à la fin des cours, il me proposa de venir prendre l’apéro chez lui ce soir. J’arrive à sa porte à 19 heures 30 avec une bouteille à la main. Je sonne, il vient m’ouvrir. Dans le salon, un étudiant était ...