Un matin très spécial
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
voyage,
voiture,
train,
toilettes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
pénétratio,
... corps imberbe, la délicatesse de ses mains fines et agiles, la chaleur de sa bouche et de sa langue virtuose. Elle frissonne en l’imaginant partout sur son corps. Elle sent la chaleur envahir son corps et son sexe. Elle sait que son excitation est perceptible, et un coup d’œil rapide sur le pantalon de son amant la rassure sur l’harmonie de leur embrasement. Elle imagine son sexe épais et dense qui ne demande qu’à jaillir de cette braguette si délicieusement tendue. Elle a déjà envie de le prendre en bouche, elle ne peut pas s’en empêcher. Depuis toujours, elle aime le sucer, le faire gémir en alternant lapements et enroulements de langue, sentir son sexe palpiter et glisser sur ses lèvres. Une grand-mère et sa petite fille assistent au spectacle offert par ce drôle de couple. Il s’en dégage une fougue inhabituelle, une énergie subjuguante. Elles sont les témoins directs du drame qui est en train de se jouer. — Je parie qu’ils vont s’embrasser.— Mais non… tu vois bien qu’ils se font la gueule … — Aahhhh… tu vois, je te l’avais bien dit qu’ils allaient s’embrasser. Les derniers remparts sont tombés. Il a tourné son visage, il a enfin laissé son regard plonger dans ses yeux indomptables et leurs bouches se sont instantanément jointes. La réaction chimique ne se fait pas attendre, elle est foudroyante et irrésistible. Immédiatement, leurs corps ne sont plus que feu et flamme. Leurs salives se mélangent et se transforment en une substance magique et symbiotique qui embrase leurs ...
... corps et leurs esprits. Oubliées la grand-mère, la petite-fille et les autres voyageurs. Oublié le Thalys, oubliés les murs et les remparts. Ils ne voient plus les kilomètres. Ils sont déjà dans un état second d’abandon l’un à l’autre. Les mains s’égarent, glissent presque malgré eux sous leurs vêtements. Leurs caresses électrisent toujours plus leurs corps. Ils ne sont plus que deux charbons ardents, chauffés à blanc. Leurs sexes palpitent, hurlent leur désir. On est dans un train quand même… Faut pas exagérer… Pourtant, ils se retrouvent presque couchés l’un sur l’autre. Elle sent son sexe énorme. Elle sent même les palpitations à travers leurs fins vêtements. Elle mouille, elle le veut en elle, elle veut se faire défoncer par ce sexe tendu et chaud. Il bande pour elle, il veut sentir sa mouille, il veut la caresser, il veut l’exciter encore et encore, il veut la voir jouir, la voir crier, il veut la prendre fort comme elle aime, lui défoncer sa petite chatte brûlante et trempée. Nouveaux aiguillages, nouvelles toiles d’araignées géantes. Bruxelles midi. Terminus, tout le monde descend. Ils se redressent, hagards. Un peu froissés, et complètement ahuris, ils arpentent la gare hostile, immenses halls impersonnels et annonces beuglantes des haut-parleurs. Il faut se ressaisir. Se rappeler qu’ils sont là pour travailler. Il faut trouver un taxi, vite. Il ne faut pas rater le début de la réunion. Évidemment, comme toujours, c’est l’immense capharnaüm devant la gare… Et il faut ...