1. Les bonheurs de Sophie (6)


    Datte: 14/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Dans la salle de bain, elle comprend qu’elle va devoir exhiber son entière nudité, s’offrir à la vue de l’homme pendant qu’elle se douche. Elle tente : « Monsieur… J’aimerai… avoir un peu d’intimité… » Il éclate de rire : « Tu n’as rien à me cacher, ma chérie. Tu aurais un trésor, que je ne devrais pas voir ? - Monsieur, je vous en supplie… - Tu ne vas quand même pas mariner toute la journée dans ta pisse ? ça te plait de puer comme ça ? Non ! Alors ? Cesse de faire ta mule stupide. Tu te sentiras tellement mieux après. » Le tapotement insistant de la cravache contre l’arrière train clôt la négociation. Tel un métronome, la lanière de cuir bat la mesure contre le cul rebondi : « Déshabille-toi ! Plus ! vite ! que ! ça ! Allez Sophie ! » Mais blocage. Tétanisée, elle est vraiment terrifiée à l’idée d’exposer son sexe. Craint-elle le viol ? La manière forte serait contre-productive. Phil, change encore de stratégie, il ouvre sa main non pas pour gifler mais pour effleurer tendrement la joue de velours et d’une voix paternelle, réconfortante : - N’ai pas peur. Je ne veux que ton bien. Je ne te ferai jamais de mal. Je ne te force pas. Je te pousse juste vers où, au fond de toi, tu désires aller. Ce que je veux, tu le veux aussi mais tu n’oses pas encore l’exprimer. » Elle est si déboussolée, elle n’a plus aucun repère. Il est devenu son seul point d’ancrage. Il poursuit sa litanie sur un ton aussi apaisant que le mouvement de son index boudiné qui patiemment caresse le visage : ...
    ... « Tu obéis aveuglément à Dieu, n’est-ce pas ? Sans te poser de question. J’exige la même confiance aveugle. - Mais c’est impossible… - Au contraire, c’est la vérité et je sais que tu y adhères déjà sans encore te l’avouer. Il n’y en a pas d’autre. - S’il vous plait, je ne peux pas… » Avec, en prime, un gros soupir à fendre l’âme : « ÔÔôhhh, s’il vous plait Monsieur. » Il se retient de la prendre amoureusement dans ses bras, de la bercer, de la câliner : « J’entends tes prières, ma chérie. Mais je n’exhausse que celles qui sont recevables. Il faut que tu mérites ma miséricorde, mon amour car tu n’es rien sans moi. Tu vas t’épanouir avec moi, je te le promets. » Elle a déjà portée les mains aux rebords de la culotte. Mais elle retient encore son geste. « Décide-toi. Tu préfères garder cette culotte pisseuse, vivre un enfer, ou marcher dans mes pas vers le Paradis ? Je te jure que si tu me suis, tu connaîtras l’extase. Oui, l’extase, Sophie. Une extase dont tu ne peux pas encore te figurer l’intensité. - Mais… - Tu as été éduquée dans la crainte de la punition divine. Cette angoisse est un mirage, la contrainte est uniquement dans ta tête Pour l’instant contente toi de m’obéir. Ce n’est pas de ta faute mais tu es si ignorante. Ne cherche pas à comprendre. Sois simplement heureuse que je t’ai choisie. Sois digne de cette élection. Ton dévouement sera récompensé dans des proportions inimaginables… Ou alors… Sois damnée à jamais. » Il accompagne l’avant dernière sentence d’un coup ...
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