1. Un dîner très particulier (épisode 2)


    Datte: 14/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal

    ... légèrement tant j’avais la bouche pleine d’eau. Je risquais de baver sur la table et j’aurais été indéniablement punie de cette audace. Mon propriétaire était donc un homme malin, il savait que je resterais dans le flou le plus total toute la soirée, ainsi il me serait quasi impossible de voir quelqu’un.C’était assez bien joué, je reconnaissais là toute la subtilité perverse d’un homme qui n’en était pas à son coup d’essai, indéniablement.Je ne dû pas attendre longtemps avant que le jeu ne commence. Je sentis tout d’un coup plusieurs mains me toucher un peu partout, puis on me suça les doigts et on me griffa les jambes et les bras. J’avais l’impression d’être entourée de petits singes qui prenaient un malin plaisir à m’écorcher doucement. Un convive plus audacieux me pinça un téton assez fort pour que j’ai un mouvement de recul. Je reçu instantanément un violent coup cinglant sur le ventre que je reconnus tout de suite. Mon propriétaire venait de me donner un coup de martinet à n’en pas douter. Bien qu’il ne dise rien, je compris que je devais me laisser faire sans bouger et je capitulais.Je sentais rougir sur ma peau une trace brûlante qu’un invité me recouvrit d’alcool. Je brûlais littéralement , le picotement était tellement fort que je fus reconnaissante à celui qui me versa de la sauce sur le ventre. Je voyais maintenant très bien à qui j’avais à faire. Mon propriétaire se piquait lui aussi d’être un dominant et il avait la main rapide et leste.Les plats se posaient sur ...
    ... la table et je sentais ces hommes si bien élevés habituellement se transformer peu en peu en animaux. Ils mangeaient avec leurs doigts et venaient tremper leur nourriture dans la sauce qui coulait de mon ventre jusqu’à mon sexe. J’entendais la mastication de leurs bouches pleines et j’imaginais leurs dents romprent la chair tendre de leurs mets. On me fourra soudain de morceaux de viande que l’on poussaient à l’intérieur de moi. Selon un invité érudit, la viande était plus tendre quand elle avait trempée dans la sauce. Mon vagin étant pour lui l’endroit idéal pour faire mijoter tout cela, il allait l’utiliser.Un autre eu soudain l’idée de me rajouter une fonction et décréta que je ferais un bon chauffe-plat. Il demanda à corps et à cris qu’on lui apporte une bougie et des allumettes et il m’enfonça celle ci dans l’anus en ricanant de son idée. Il se servit de la sauce comme lubrifiant et poussa la bougie assez loin afin qu’elle tienne bien. Il l’alluma puis posa son assiette sur mon ventre et fit admirer sa composition par les autres. Je pris instantanément conscience de l’expression “avoir le feu aux fesses” et je me mis à réciter un mantra intérieur pour garder tout mon calme.Pendant ce temps là, un autre utilisait ma fonction de rince-doigts comme une poubelle de table. Il venait de parier avec un ami qu’il était tout aussi intelligent qu’Archimède et qu’il allait faire flotter des choses dans ma bouche. Je notais intérieurement de ne jamais dîner avec un homme de sciences ...