Train à Petite Vitesse
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
train,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... fait glisser un peu ma culotte. Puis sa main a lentement voyagé sur mes reins, a caressé mes fesses, fureté entre mes cuisses. Un de ses doigts s’est frayé un passage entre les lèvres de mon sexe. C’était vraiment très bon. Je n’ai pas hésité une seconde à le suivre, lorsqu’il m’a prise par la main pour m’entraîner dans les lavabos du wagon. Il y avait pourtant un peu plus de monde à cette heure-là qui traînait dans le couloir. Nous venions tout juste de quitter Châteauroux et quatre ou cinq voyageurs, nous ont vus nous engouffrer dans les toilettes en nous embrassant à pleines lèvres. Claude a vite enfilé un doigt dans mon sexe tout en caressant mon clitoris. J’étais excitée comme une folle. Lui, avait dégrafé son pantalon gris. Je branlais sa bite. Pour tout dire, j’essayais de le faire jouir le plus vite possible de cette façon, car, même si j’en avais très envie, je ne voulais pas qu’il me prenne. Faire ça avec ce type que je ne connaissais presque pas… et dans le train en plus ! En même temps, on ne m’avait jamais caressée comme ça. Et voir sa queue si grosse et si dure… J’étais obligée d’utiliser mes deux mains pour le branler. Alors quand je l’ai vu sortir un préservatif de sa poche et commencer à le dérouler sur son gland gonflé à bloc, je n’ai pas pu faire autrement que me retourner, relever ma robe et lui offrir mes fesses. Je pensais qu’il allait se déchaîner d’entrée. Au contraire, il n’a enfilé qu’une partie de sa queue et il est resté en moi, sans bouger. En ...
... revanche, il ne se privait pas pour froisser mes seins et titiller mon clitoris. Ça me rendait folle. Je voulais qu’il bouge. Du coup, c’est moi qui me suis mise à bouger. J’avais trop envie de sentir toute la longueur de sa bite. Puis il a commencé à me pilonner, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Il a mis du savon liquide sur un doigt qui a commencé à masser mon petit trou, sans ralentir les coups de reins. A plusieurs reprises, je me souviens que l’on a frappé à la porte. Quand Claude a compris que j’avais envie de jouir, il s’est empressé de se retirer. Je l’ai supplié pour qu’il remette vite sa queue. Mais au lieu de la planter dans mon vagin trempé, il a présenté son gros gland à l’entrée de mon anus, abondamment huilé par l’eau savonneuse. Sans cesser de caresser mon clito, il a écarté mes fesses et son membre s’est engouffré dans mon petit trou. Là, je crois que j’ai hurlé. J’avais un peu mal et en même temps la sensation de sa queue qui fouillait mes entrailles a déclenché la jouissance. Lui s’est alors retiré et a ôté sa capote avec peine. Il m’a demandé de passer mes lèvres et ma langue sur son gland. Mais à peine avait-elles effleuré son gros bout que de longues saccades crémeuses ont explosé sur mes joues. Après un brin de toilette, on a vite regagné notre compartiment. Dans le couloir, les voyageurs nous lançaient de drôles de regards. Alors que nous nous asseyions, le train a commencé à ralentir. On arrivait en gare d’Austerlitz, déjà. Je me suis vite ...