Gentils Médors (2)
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... pris ses marques dans le parc, il va simplement falloir que je lui indique là où faire ses besoins, je n’ai pas envie qu’il en sème partout dans le parc. Deux jours se passent, Médor a maintenant complètement intégré sa nouvelle vie, il est joyeux, plein de vie, en bonne santé. Mais moi, je veux qu’il s’occupe un peu de moi. Pour ce faire, je suis constamment nu avec lui, et je marche le plus souvent possible à quatre pattes à côté de lui, mais il ne semble pas bien comprendre ce que j’attends de lui. Les jours passent, je suis de plus en plus frustré, et je dois partir pour Le Cap. Comme je possède un appartement que je loue de juin à mi-juillet et de mi-août à fin septembre, me réservant les quatre semaines à cheval sur le premier août, je peux emmener Médor avec moi pendant ces quatre semaines. Nous arrivons au quartier naturiste du Cap en début d’après-midi, je préviens l’agence de location de mon arrivée et m’installe chez moi. C’est un appartement de trois pièces assez grand au dernier étage de la résidence avec une grande terrasse. Je suis au bout de l’étage et n’ai qu’un seul voisin sur la gauche. Je me déshabille immédiatement pendant que Médor fait le tour du propriétaire et repère assez vite un coin pour s’allonger. J’installe sa couverture et vais chez mes voisins. Ce sont deux homosexuels parisiens jeunes retraités, Guy et Serge, qui passent plus de sept mois par an au Cap, ils surveillent plus ou moins les locataires de mon appartement quand je ne suis pas là. ...
... Ils ont une chienne de race épagneul, Fidèle. Nous discutons un moment de tout et de rien. Je leur dis que je possède un jeune dog allemand. Ils semblent un peu gênés car leur chienne est en chaleur et la proximité d’un mâle les inquiète un peu. En moi-même, j’espère que Médor le sentira et deviendra un peu plus entreprenant. Pendant la discussion, je caresse beaucoup Fidèle tout en passant ma main sur mes cuisses et discrètement sur mes fesses. Quand je sors de chez eux en fin d’après-midi, je caresse plus que de raison la chienne des deux mains et une fois dans le couloir, me les passe sur l’anus. Quand j’entre dans l’appartement, je sens immédiatement une modification dans le comportement de Médor, visiblement il est excité. Il me tourne autour en posant sa tête sur mes cuisses et mes fesses. Sa bite sort largement de son fourreau. Je tire les rideaux pour m’isoler, me passe un peu de graisse sur l’anus et me met à quatre pattes en me couvrant le dos d’une serviette. Médor me tourne autour, il sent la chienne en chaleur, je vois son sexe sorti de sa gaine. Il se met derrière moi, et me saute dessus. J’accuse le coup, il est nettement plus lourd que Médor 1, mais la longueur de ses pattes fait qu’il peut les poser à terre et ne plus peser sur moi. Il donne de grands coups de rein, je sens son sexe taper sur mes fesses, je suis sur le point d’intervenir quand sa bite trouve enfin le chemin du bonheur et me pénètre d’un trait jusqu’à la boule. Il se déchaine sur mon cul, mais, ...