1. Frasques à Deauville


    Datte: 14/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... Constance Mon manque de résistance me surpris moi-même. Surement les effets de la drogue toujours … n’allais me faire prendre par derrière et je n’émettais aucune résistance. En avais-je vraiment envie au fond de moi ? Surement un peu, mais je n’en étais pas persuadée. Pourtant j’avais dit oui, et même plus j’invitais Constance à me sodomiser - Mettez-vous à quatre pattes Laetitia Je m’exécutais. Elle releva le manteau, découvrant ainsi mon cul, que je tendis. Constance s’est penchée et a glissé sa langue entre mes fesses pour me lécher de haut en bas, puis de bas en haut. Elle déposa un peu de salive sur mon œillet, puis le titilla du bout du doigt puis du bout de la langue. Elle insista dessus, lapant puis insista vraiment, comme si elle essayait de pénétrer sa langue dans mon anus. Enfin, elle se pencha n avant, ouvrit le tiroir de la table de nuit et en extirpa un flacon contenant du gel. Elle en fit couler entre mes fesses. Le gel froid me fit frissonner. Elle fit couler le reste sur l’appendice en cuir. Elle étala le gel dessus avant qu’il ne tombe sur la couette, puis glissa son doigt sur ma raie, massa ma rondelle pour la lubrifier. Elle pénétra un doigt, puis deux pour ouvrir le passage : - Prête ? - Oui allez-y, Constance, sodomisez moi … C’était la deuxième fois que je l’invitais à le faire !! Constance Neuville de la Forge allait m’enculer ! Je ne suis pas pour la vulgarité mais dit comme ça, ça prenait tout son sens et ça m’excita encore plus. Et puis ce mot ...
    ... donnait encore un peu plus de relief à la chose. Après qu’elle m’a demandé si j’étais prête, j’avais très envie de lui répondre « oui, vas-y encules moi ! », mais je me suis contentée de « Oui allez-y, Constance, sodomisez moi ». Vous voyez la nuance ? Le pas que je n’ai pas franchi ? Elle posa le bout de l’engin sur mon anus, le frotta un peu dessus : - Détendez-vous Laetitia Enfin elle poussa, l’engin força l’entrée. Je ressenti de la douleur d’abord, mais elle se calma, après que les premiers centimètres furent entrés dans mon fondement. Constance arrêta sa progression pour me laisser reprendre mon souffle et mes esprits. Elle reprit sa marche en avant. Quelques centimètres de plus entrèrent en moi. Ce fut moins douloureux cette fois. Elle poussa et l’engin me pénétra complètement. Je respirais fortement par le nez, j’accompagnais les derniers centimètres d’un « oooohhhh ». Constance agrippa mes hanches de ses deux mains, et ressortit en partie l’engin de mes fesses, j’accompagnais le mouvement d’un « aaaahhhh », puis d’un « oooohhhh » quand elle l’a repoussé à nouveau au fond. Ses mouvement étaient lents, mais à force de va et vient, j’avais la sensation que ça rentrait de mieux en mieux, que plus rien n’entravait la pénétration. Ça coulissait. Elle a accéléré le rythme légèrement : - Ça va Laetitia ? - Ouiiii, allez y doucement quand même … Constance avait maintenant pris son rythme de croisière. La douleur était maintenant disparue. Par contre la sensation est plutôt ...
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