Le Monarque : Danaus plexippus
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
... C’est plus sage.— Sage ? Mais au diable la sagesse ! Tu dis que c’est pour moi que tu veux arrêter. Que tu penses que je suis seul. Que nous devenons trop pervers. Mais quelle importance ? Nous ne faisons de mal à personne. Ce qui compte, c’est notre bonheur. Au diable la bienséance et les bien-pensants ! Tu veux que je t’apporte la preuve que ta rupture me punit aussi ?— Mais, Marc…— Si je te prouve que c’est le cas, reviendras-tu sur ta décision ?— Euh… oui.— Alors écoute. La fois où vous avez baisé dans le jardin, j’étais en face et je vous regardais.— Mais…— Chut. Écoute et tais-toi. Dès qu’il est arrivé, tu t’es jetée sur lui comme une femelle en chaleur. Tu étais belle, prêtresse devant sa tige que tu adorais. Tu l’as sucée, léchée, même ses couilles ont été adorées. Et puis tu l’as chevauché. Tu me faisais penser à une furie, et lorsque vous avez joui, ma propre queue tendait mon short à me faire mal. Tu sens comme rien que d’en parler, cela m’excite ? Tu sens mon sexe qui est dur ? Elle ne répond pas, mais son bassin le lui confirme, et son geste de sa tête est un oui éthéré. — Mais ce n’est pas tout. J’ai vu comme il t’a prise en levrette, et surtout lorsqu’il t’a glissé son braquemard dans le cul. Je savais que c’était la première fois que ton petit trou voyait passer une autre bite que la mienne. C’était extraordinaire. J’avais sorti mon sexe et je me branlais. Si c’est de la perversité, alors je veux qu’elle continue. J’ai craché mon foutre juste au moment où ton ...
... amant sortait sa queue et que de ton cul suintait sa propre liqueur. Cette vision m’a taraudé pendant plusieurs jours, et tu comprends pourquoi j’ai voulu te posséder hier, encore chaude de son corps et humide de sa semence. Dis, tu sens comme je bande de raconter cela ? Tu sens ?— Oui.— Alors, pourquoi arrêter ?— Je comprends. Mais que dois-je faire ?— Ma chérie, je voudrais vous regarder. Ne pas avoir à jouer les voyeurs, bien que ce soit excitant.— Oh !— Regarde Rémy. Va l’inviter à danser. Montre-lui combien tu l’apprécies comme amant. Moi, je vais me faire tout petit pour ne pas vous perturber.— Tu crois qu’il voudra bien de moi ?— Martine, c’est évident. Elle va aller le rejoindre, mais au moment de la libérer : — S’il te plaît, chérie, est-ce que je peux ? J’en rêve depuis si longtemps… Et tout en lui parlant, je la fais se tourner vers Rémy qui nous regarde. — Qu’est-ce que tu fais ?— Je t’offre à ton amant. Je lui montre, mais il le sait déjà, que je suis un cocu content. Je tire lentement dans le dos de la robe sur la fermeture Éclair qui va jusqu’aux reins. Tout en le faisant, dégustant chaque centimètre de peau qui se révèle à mon regard, j’imagine déjà que nous achetions une robe avec le zip devant, sur toute la hauteur, permettant ainsi à la femme infidèle de se dénuder devant son amant. Pour l’instant, l’amant ne voit pas plus ; mais lorsque je fais glisser les bretelles sur les épaules et que la robe tombe à terre, il en est le spectateur. Marine ne porte pas ...