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Photographier Marianne (1)
Datte: 15/04/2018, Catégories: Hétéro
... changer les éclairages. J’ai même poussé le vice jusqu’à venir moi-même réajuster le collant sur ses hanches et dégager un peu plus son ventre. Elle avait sa tête toujours baissée, regardant le sol sans dire un mot. Je suis revenu derrière mon appareil et j’ai commencé à prendre quelques photos, la laissant dans cette position. Et puis je lui ai demandé de positionné sa tête sur le sol pour que la cassure de ses reins puisse être plus marquée... Et sans hésiter elle s’est placée dans cette position si sensuelle, si sexuelle. Fin de séance... Elle s’est rhabillée et m’a dit qu’elle prenait le string pour le laver... Avait elle était excitée ? Probablement vu l’atmosphère... ---------------------------------- Chapitre 2 : J’ai mis du temps à la faire revenir dans le studio, mais c’était plus un problème d’emploi du temps que de volonté... Et puis là, il me fallait plus de temps. Je ne lui disais toujours rien sur le contenu de la séance mais finalement elle a trouvé une paire d’heure à m’accorder. Je lui ai expliqué ce que je voulais et j’avais spécialement fait venir une maquilleuse pour la transformer. Elle qui n’avait jamais été maquillé s’est surpris elle-même. Elle ne se reconnaissait pas, un papillon dans le miroir. Le maquillage noir autour de ses yeux faisait ressortir le vert de ses pupilles, le rouge à lèvre rouge autour de sa bouche faisait ressortir un coté sexuel. Ses cheveux était plaqué en arrière, cela lui donnait un petit côté salope parfait pour la scène ...
... que je voulais réaliser... Curieusement, elle n’avait toujours pas demandé d’explication sur ce qu’elle allait devoir faire. Bien souvent le fait que le modèle soit entouré et préparé, lui donne confiance... Mais pour Marianne c’était autre chose, elle s’abandonnait comme pour la première séance. La maquilleuse avait enfin fini et après l’avoir remercié et payé, elle a quitté le studio me laissant seul avec mon modèle, mon amie, cette femme que j’avais transformé. Je lui ai alors présenté la panoplie et l’idée. Elle devrait porter des bas noir, un string noir, une mini-jupe noir très courte, un perfecto sans rien en dessous et des escarpins avec des très hauts talons. J’avais peur de la voir refuser de ne rien porter en haut parce qu’elle complexait terriblement sur la petite taille de sa poitrine ou encore à propos des chaussures car elle ne porte jamais de talons, mais elle n’en fit rien. Elle est passée derrière le paravent pour en ressortir quelques minutes plus tard comme je l’avais imaginé. Elle ne tenait même pas fermé son perfecto. J’ai marqué un cours instant de contemplation et elle s’en est rendue compte. Et j’ai vite repris mon air pro de photographe perfectionniste... “L’idée cette fois, c’est de te mettre dans une situation, dans une image que tu n’aurais jamais pu réaliser ou que les gens qui te connaisse n’imaginerai pas te voir faire. Je veux que tu sois désirable sexuellement, que tu imagines l’appareil comme un sexe d’homme sur lequel tu veux t’asseoir... ...