1. Vestiaire de foot (1)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Gay

    ... parce que la plupart des autres sont des potes. Même si j’apprécie leur physique, je ne bande pas pour autant, parce que je les connais bien. Mais ce jour là, je n’ai pas pu me contrôler. Je me suis assis vite fait sur mon banc, j’ai viré mon maillot et je l’ai posé en vrac sur les genoux, pour masquer mon érection. Mon voisin, à côté de moi, m’a dit: "Alors Ced, on s’est bien défoulé aujourd’hui non?" Moi, je me disais qu’il était impossible que j’aille prendre ma douche tout de suite, avec cette gaule, donc j’ai saisi ce prétexte pour ne pas me dessaper immédiatement, et j’ai engagé la conversation. "Ouais, chui naze..." On a échangé quelques banalités, je n’avais pas grand chose à faire de ce dialogue, mais c’était bien pratique pour justifier le fait que je gardais mon short. En parlant, je regardais autour de moi, en espérant que la douche serait rapidement désertée pour que je puisse y aller discrètement, même si je bandais encore un peu. C’est en regardant autour de moi que j’ai croisé le regard de Christophe. Il me regardait, tout en détachant ses lacets. J’ai dû avoir l’air surpris qu’il me regarde comme ça, parce qu’il a fait un sourire moqueur. Ses yeux ont quitté les miens, et je les ai vu descendre vers mon entrejambe. Puis il m’a regardé de nouveau, toujours en souriant. J’ai dû rougir un peu, j’ai déplacé un peu le maillot sur mes genoux, et j’ai tourné la tête vers mon pote pour continuer à raconter des bêtises à propos de cet entraînement fatiguant, mais qui ...
    ... ne méritait pas qu’on dise autant de banalités à son propos. Le pire, c’est que mon érection commançait tout juste à se calmer quand j’ai croisé le regard de Chris, et, sans que je m’explique pourquoi, l’impression qu’il m’avait grillé m’a fait rebander aussi sec. J’étais mal. Heureusement, tout le monde avait l’air vraiment fatigué, et la plupart des mecs étaient déjà ressortis de la douche, et s’habillaient rapidement pour rentrer chez eux. C’est pas aujourd’hui qu’on allait boire un verre ensemble après l’entraînement. Sans doute plus tard dans la soirée pour certains, mais pas immédiatement en sortant, comme on le faisait parfois. L’entraîneur avait l’air encore plus pressé que nous. Il a débarqué en disant: "Bon, les gars, faut que j’y aille, j’ai un rendez-vous. Je vous laisse les clés, que le dernier ferme bien les vestiaires derrière lui, et qu’il dépose la clé dans ma boîte aux lettres!" J’ai oublié de préciser que j’habite un village, pas tout petit, mais pas très grand non plus, que les vestiaires sont installés sous les vieux gradins qui longent la pelouse, et que le stade est un peu isolé du reste du village. En général, l’entraîneur part le dernier et ferme les vestiaires. Devinez quoi... Vous imaginez bien que ce qu’il a dit ce jour là n’a pas aidé à calmer mon excitation. Je me suis dit qu’il fallait que je sois parmi les deux ou trois derniers à quitter le vestiaire. Histoire de voir qui seraient les deux autres, qui serait l’avant-dernier, et des fois que... ...
«1234...»