WebCam
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
jouet,
couple,
internet,
... nous rapproche et de nous éloigne alternativement, et mon sexe s’enfonce régulièrement dans son fondement sans effort… Les yeux mi-clos, nez levé au plafond, elle accueille chaque nouvelle intrusion en sa sombre intimité d’un petit gloussement ravi, tandis que ses doigts agiles titillent de plus belle son petit bouton rose dans son antre totalement détrempé… La femme qui est là, au bout de ma queue, se donne à fond, exigeant que j’aille l’explorer plus loin encore, la forcer sans relâche. Son seul désir est que je la mène à l’extase, une exaltation un peu masochiste, très machiste, une frénésie qui lui prendra les entrailles avant de rayonner dans tout son corps. Je suis son tourmenteur, son bourreau, et j’y vais de bon cœur, tout en surveillant tant bien que mal si tout va bien : il serait stupide que je casse en deux mon beau jouet ! Rageur de sentir que je peux perdre le contrôle, je lui donne deux violents coups de reins, accompagnés à chaque fois d’un vigoureux « han ! » bien sonore. Elle hoquette ; son souffle s’accélère, de plus en plus rauque. La sueur dégouline de son corps, le creux de son dos luit, ses épaules brillent. Elle se tortille de plus en plus fort autour du pal qui la laboure, tandis que ses cris augmentent en intensité. Un grand hoquet, un ultime soubresaut à m’en arracher la bite qui est fichée en elle : tout son corps se cabre sous l’orgasme. Elle crie, elle s’agite, elle vibre, elle jouit longuement, impudiquement, sans fin… Moi, durant ce même temps, ...
... j’ai eu beau essayer de tenir encore un peu plus, environné des cris de jouissance ; je n’ai pas réussi et je me vide en elle, tel un barrage qui cède, ma semence se répandant dans le fondement de cette belle pute qu’est ma femme. Elle reste allongée sur le ventre durant de longues minutes sur le canapé, mi-endormie, tandis que je récupère petit à petit, assis au sol. Ayant recouvré un peu de force, je me lève tant bien que mal. Alors que je la surplombe de toute ma hauteur, je vois distinctement mon sperme blanc qui baigne son anus encore entrouvert ; une longue trace disparaît entre ses cuisses, le long de ses lèvres intimes luisantes. Je reste ainsi quelques instants, fasciné par ce spectacle. Puis je me dirige vers le frigo ; je remplis deux grands verres de jus d’orange. J’en pose un sur le sol, à côté de ma femme, tandis que je m’assieds sur un pouf, un peu plus loin. Verre en main, je la regarde, elle, ma femme, cette adorable chaudasse qui a l’art de me faire perdre mon vernis de civilisation. Puis je regarde vers la cuisine, le regard vague, portant le verre à mes lèvres. Alors que je suis en train de boire, j’entends : — J’aime quand tu es jaloux… Je tourne la tête : toujours allongée sur le canapé, ma femme a pris le verre et s’apprête à le boire. Elle ajoute, juste avant de porter le verre à ses lèvres rosées : — C’est nettement meilleur quand on se lâche comme des bêtes, tu ne crois pas ? Au fait, demain, je m’inscris sur plein d’autres sites d’exhib, vu l’effet ...