1. La transformation de Julie


    Datte: 18/04/2018, Catégories: hh, Transexuels hsodo, ecriv_f,

    ... j’accentuai le roulement de mes fesses, juste sous son nez. Arrivés sur le palier, nous rencontrâmes Ulysse, le chien d’Hélène qui me fît la fête. Je m’agenouillai pour le caresser. Pierre vint se placer juste au-dessus de moi. Il avait ainsi une vue plongeante sur mon décolleté. En écartant un peu les cuisses, je découvris le haut de mes bas. La réaction de Pierre fut instantanée : une bosse vint se former au niveau de sa braguette. Le vieux vicieux bandait en fantasmant sur sa bru ! Quelle délicieuse situation. Je ne savais pas si je devais en parler à Alain. Et puis, je me dis que non, cela risquerait de les brouiller. Ce n’était pas le moment. La journée passa comme dans un rêve. Tout était merveilleux. Nous quittâmes les parents d’Alain en milieu d’après-midi. Ce dernier voulait me montrer sa cabane en bois située au fond du parc où il jouait quand il était plus jeune. Ce fut surtout un prétexte pour que je le suce et qu’il me sodomise. Le soir, nous nous retrouvâmes tous autour de la table pour un dîner gargantuesque arrosé par des grands crus. J’étais un peu pompette. Alain me regardait avec amour, Hélène m’avait littéralement adopté et Pierre, de plus en plus ivre, ne se cachait pas pour me reluquer sous toutes les coutures. Devant tant d’audace, j’en devenais gêné. Nous nous quittâmes après une dernière discussion autour d’un cognac. Hélène me montra ma chambre. Elle m’avait prévenu d’avance : — Nous sommes un peu vieux jeu, nous préférons que vous dormiez dans des ...
    ... lits séparés tant que vous n’êtes pas mariés. Le mariage ! Cette idée me fit sourire… J’acceptai de bonne grâce, d’autant que j’étais persuadé qu’Alain viendrait me rejoindre pendant la nuit. Aussi, dès que je fus seul dans ma chambre, je me préparai à une nuit d’amour. J’enfilai un ensemble 3 pièces composé d’une guêpière, de bas et d’une culotte en dentelle assortie. La guêpière était fermée devant par des liens en satin à nouer. Les bas possédaient également un superbe laçage au dos. C’était un cadeau d’Alain que je voulais absolument étrenner avec lui cette nuit. J’enfilai également ma paire d’escarpins, mon homme détestant me voir les pieds nus. Voilà, j’étais prêt. Ne restait plus qu’à attendre Alain. Pour que cela soit plus romantique, je décidai de baisser la lumière et de l’attendre dans la pénombre. J’attendis un bon moment et l’alcool aidant, je m’endormis. Je fus réveillé par des caresses on ne peut plus explicites sur ma poitrine. Enfin, Alain m’avait rejoint. La lumière était éteinte et Alain en profitait pour me peloter comme un collégien découvrant pour la première fois des formes féminines. C’était étonnant, mais je trouvais cela touchant. Sa langue s’ouvrit un passage dans ma bouche, son haleine sentait l’alcool. Tout en me roulant une pelle mémorable, ses mains se firent plus pressantes. Ma poitrine était durement malaxée. Avait-il oublié que l’opération n’était pas si ancienne ? Il doit être ivre, pensai-je. Ce furent ensuite mes fesses qui passèrent un ...
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