Le fameux ticket de métro...
Datte: 18/04/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
couple,
uniforme,
parking,
Collègues / Travail
bus,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
entreseins,
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
jeu,
yeuxbandés,
... contemple dans la grande glace. Des cheveux blonds aux épaules, une poitrine haute et ferme emprisonnée dans l’étau du corset lacé. Mes yeux suivent l’entrelacement des lacets qui descendent jusqu’au bas du nombril. Mon string est légèrement transparent et je décèle mon fin duvet. Mon porte-jarretelles laisse un creux de peau blanche que mes bas tranchent par une lisière de dentelle. Après, quelques rajustements, je mets le fameux tailleur noir, désiré par mon amant. J’enfile le bas, une courte jupe laissant entrevoir mes cuisses. Puis un chemisier blanc et une légère veste noire. Me voici prête pour ce fameux rendez-vous mystère. Je pars en direction du lieu défini par cet étrange mot. Au fond de moi, les sentiments se bousculent. Je ne cache pas une certaine peur : ce mot m’entraîne vers quelque chose mais je ne sais pas quoi, c’est peut-être un plan foireux ou glauque. Cela m’étonnerait beaucoup de mon chéri et puis il connaît parfaitement mes désirs et mes fantasmes, depuis le temps que nous les égrenons. Et puis ce mot ne peut être que de mon Marc et non d’un malade mental, alors pas de quoi paniquer. Au fur et à mesure que mes pas m’emmènent vers l’inconnu, la sensation d’inquiétude est remplacée par l’excitation de la surprise. Me voici, à la porte de la série de bâtiments où sont entreposés les tramways pour être réparés ou entretenus. J’entre sans problème, connaissant le digicode. Il est bientôt 23 heures, mon léger manteau est humide à cause de l’air ambiant et ...
... je frissonne un peu, car il fait frais. Le lieu est une vaste place pavée et l’entrepôt en question est devant moi. Il n’y a personne aux alentours, pas un bruit et je commence à me sentir seule, trop seule. Je marche donc rapidement vers le lieu convenu avec une certaine difficulté, car les talons et les pavés ne font jamais bon ménage. Je suis face à une large porte. Je la fais coulisser et entre à l’intérieur de l’entrepôt. A l’intérieur, c’est le vide qui domine, à l’exception d’un tramway au milieu du hangar. Une des portes est ouverte. Les lampes allumées procurent la seule luminosité, il fait donc très sombre. D’un coup, la porte se referme avec un bruit sourd et je sursaute. Cette fois-ci, je commence vraiment à me sentir très seule. Pour me rassurer et faire cesser cette plaisanterie qui commence à ne plus me faire rire, je crie le nom de Marc. Son nom résonne dans le vaste hangar. — Marc, Marc tu es là ? C’est toi ? Allez, réponds-moi, je trouve plus ça drôle.— Oui, c’est moi ! Désolé pour cette ambiance ! Je suis dans le tramway, rejoins-moi… Mon inquiétude disparaît dès que j’entends la voix de mon homme et je me dirige vers le tramway. L’anxiété qui troublait mon estomac est désormais finie. Mon compagnon a toujours aimé pimenter nos ébats et, même si le scénario me rendait inquiète, maintenant que je sais qu’il ne s’agit pas d’un piège, je suis toute prête à jouer le jeu jusqu’au bout. J’entre dans la voiture de tête du tram’. Comme tous les tramways, des sièges ...