1. Anne OFFERTE AUX PAYSANS par son mari et le Promoteur (1)


    Datte: 20/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... une petite veste en maille très fine, elle me couvre jusqu’aux fesses. Celle-ci va me permettre de voyager et rester un peu habillée au moins au début de la « réunion » Arrivée au bureau de Georges, les bureaux sont vides on est Samedi. Je vais le voir. Je prends soin de lâcher la petite veste pour ne pas le contrarier. Il raffole que je sois le plus nue possible, plutôt totalement d’ailleurs  !¨ Pour lui, quand il est seul.... Son visage est grave, dur, la mâchoire carrée, un rictus sadique. Ses yeux sont déjà rivés sur mon sexe !! Je suis perforée, transpercée... Il me dépouille, détaille, passe mon corps au scanner, partout ! Des yeux aux chevilles. Pas de bonjour, sans un mot, il fait signe : « tourne-toi ! » J’obéis, très sage. Je lui présente mon minou, rehaussant la robe légère, puis mon cul en m’inclinant (la ficelle du string ne cache pas l’oeœillet). Enfin mes seins, dressés, exhibés en les soupesant, j’excite les bouts, ce haut de robe souple permet de les sortir sans défaire le lacet de la nuque. Le but est de lui confirmer que tout est accessible, de suite, instantanément, à tout temps. ubcuxxpt J’attends son verdict. Mon mari est là, assis, complaisant, il savoure ma « bienveillance ». Il sait, je vais amadouer, conquérir ce malappris. Léger sourire de ...
    ... Georges : « Ça va, ça ira « ENFIN ! Pour l’instant !!! » « Viens ma petite caille ! Viens me sucer ! J’ai envie ! Fais-moi reluire, faut que je jute et bois tout, hein !! ». Là, nous sommes dans « SON » domaine. Ma bouche et ma langue connaissent par cœoeur sa grosse bite large, son frein, son gland, ses couilles charnues, juste poilues, le goût de son jus. Cette bite a été sucée des dizaines de fois... Je sais lui faire hurler sa rage de me posséder. Avant, je m’oriente vers lui, la tunique chute... le string. Absolument et complètement nue, je l’enlace au plus près, collée. Je lui roule un baiser d’enfer, long, soumis, docile. Un baiser d’abandon ! Ce mec est un saligaud pervers et vicieux, tyrannique, immoral, rustre .... Mais, à cause de cette terrible complicité érotico financière l’unissant à mon mari, Je finis par...l’aimer !! J’accepte de lui fournir tout ce qu’il exige, j’encourage sa libido démesurée, la stimule. Cette fin de semaine, à partir de cet instant, je deviens « Sa chose ». Je n’existe plus tant que ses partenaires, coéquipiers, associés, clients, le voudront ! Tant qu’il leur restera une goutte de sperme... Vous allez le vivre une fois de plus. A tout de suite. Accrochez-vous. Je vous certifie que le préambule est terminé. Fin de la 1 erre partie 
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