1. À la Claire fontaine


    Datte: 20/04/2018, Catégories: fh, couple, ffontaine, pied, Masturbation intermast, Oral fist, init, humour,

    ... ses longues jambes, je ressens en moi une émotion forte qui m’attendrit, me submerge. Et cette fois ne dérogea pas à la règle. Comme un enfant émerveillé, à genoux à son côté, je pris le temps de la contempler, le cœur gonflé, remerciant la nature de nous offrir un tel miracle, tant de beauté. Je passai mes mains lentement sur les rondeurs de ses seins, sur son ventre, puis j’en glissai une sur son pubis, faisant jouer mes doigts entre ses poils fins, poussant un doigt jusqu’à la commissure de son sexe, et ma main finit sa course sur sa cuisse. Claire continuait à me caresser. L’instant était magique, le bonheur à l’état pur ! J’étais dans un état second, toutes armes déposées, humble et respectueux, contemplatif. Peu s’en fallut que je ne pleurasse. Si j’avais cru en Dieu, je me serais mis à prier ! Et Claire dit : — T’attends quoi ? Le retour du messie ? Et voilà, voilà comment on plombe un élan de mysticisme sincère et véritable. N’empêche : « le messie »… où diable était-elle allée pécher ça ? Télépathie ou coïncidence ? Troublant, n’était-il pas ? Une fois revenu de mon escapade céleste, je me remis à notre affaire. Je remontai l’intérieur de la cuisse de Claire. Mon index vint effleurer son sexe, je sentis ses lèvres humides, chaudes. Elle ferma les yeux, écarta un peu plus les jambes. Sa main continuait à me branler, lentement, délicatement. Je plaçai la paume de la mienne sur son pubis et je fis aller et venir mon majeur entre ses lèvres. À nouveau, je pus vérifier ...
    ... que Claire était dans un état d’excitation avancé, elle mouillait à grandes eaux. Je posai ma main libre sur son sein, son téton pointait, dur comme un roc. Tandis que je le faisais rouler sous mes caresses, je poussai le majeur de mon autre main dans sa fente. Elle eut un petit soubresaut, poussa un faible gémissement. Mon index et mon annulaire suivirent sans peine, son vagin se dilatait avec une aisance incroyable. Je commençais à entrer et sortir mes doigts, doucement, et mon pouce vint se poser sur son clitoris. Chaque fois j’enfonçais mes doigts un peu plus profondément, Claire passait à présent sa langue sur ses lèvres, sa tête roulant lentement de droite à gauche. Son bassin se tortillait légèrement, relevant ses fesses à chacune de mes poussées, comme pour faciliter l’accès de son antre. Bien entendu ce n’était pas la première fois que je doigtais ma femme ; souvent nous débutions nos ébats de la sorte, mais à l’accoutumée, à ce stade, je la sentais suffisamment réceptive et nous passions à la suite des opérations. Or, cette fois, la finalité était toute autre. Aussi n’abandonnai-je pas le navire. J’entrepris même de m’amuser un peu avant d’entrer dans le vif du sujet. Mais ce qui s’ensuivit, j’étais à mille lieues de me l’imaginer. Non que je fusse complètement inculte des réactions biologiques sexuelles, ce phénomène pouvait se produire et je le savais, mais bien parce qu’en dix ans de transports communs, jamais au grand jamais Claire ne l’avait manifesté. Et là où ...
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