1. Tout est bien qui finit bien


    Datte: 20/04/2018, Catégories: ff, école, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, f+prof,

    ... placée au-dessus de moi et j’adore cela ! Tel un mâle en rut elle donne des coups de reins puissants et profonds collant nos strings de désir. Le canapé couine sous la force de notre étreinte de plus en plus passionnée au fil des minutes, le bruit des ressorts se mêlant à nos gémissements puis nos cris. Notre orgasme est pratiquement simultané, Marion jouissant quelques secondes plus tard retombant sur mon corps pour une étreinte post-coïtale emplie de tendresse. ********** — Maman ?— Oui ma puce.— Je crois que j’ai aussi une amoureuse… Je souris au mot aussi. Stella a bien intégré que maintenant maman vit avec Marion qui n’est plus sa maîtresse depuis la rentrée de septembre. Notre vie est certes atypique mais paisible et Alex a également rencontré une femme avec laquelle il va emménager bientôt. Bref, tout roule ! Mais revenons à cette histoire d’amoureuse… Ma fille serait-elle lesbienne comme sa mère ? Peut-on être lesbienne à 5 ans ? — C’est qui ma puce ?— Alexia. Elle est trop gentille. Je souris, attendrie par ses mots d’enfants. — Et pourquoi dis-tu que c’est ton amoureuse ? C’est peut-être juste ta meilleure amie.— Bah, elle m’a fait un bisou sur la joue ! Amusée, je lui explique : — Ça ne suffit pas pour dire que c’est ton amoureuse, ma chérie.— Ah… Elle paraît déçue et en la regardant je vois qu’elle cogite quelques instants avant de poursuivre : — Donc, quand la maman d’Éden t’a vue faire la bise à Marion ce n’était pas ton amoureuse ? Là, je comprends d’un coup ! La mère d’Éden m’a vue faire la bise à Marion après notre première séance de piscine, l’a répété à l’ATSEM et Stella a imaginé que nous étions amoureuses… J’avais complètement changé de vie à cause (ou grâce) d’un quiproquo ! — Non, ma puce. Ce n’était pas encore mon amoureuse, mais elle l’est devenue. Le sourire radieux de ma fille à cet instant me conforte dans l’idée que j’ai pris la bonne décision et je la prends dans mes bras pour un gros câlin dont seuls les enfants ont le secret.
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