Gloire au Glory-hole
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
Anal
Gay
C'était une période pendant laquelle je ne travaillais pas. J'avais rencontré Pierre lors d'une soirée, nos relations sexuelles, au début, espacées avaient glissées progressivement vers des rapports de soumission. Je restais dans son appart, disponible à ses caprices.C'est un soir où je trouvais sur le lit une tenue : que du cuir : des sangles, un collier de chien, un pantalon de cuir, un jock de même matière...C'était un rituel : je m'habille et attend. Parfois, les idées des folles nuits me traversent gonflant le pantalon de cuir. J'attend parfois plus de deux heures.Pierre rentre :- "Alors, petite pute : t'es prête ?"- "Oui, mon maître"Il prend la laisse et m’entraîne : nous sortons de l'appartement, on descend les escaliers - j'étais angoissé de rencontrer un voisin", nous sortons dans la rue. Sa voiture est garée sur le trottoir en face, juste en sortant : j'avais cru un instant que le jeu consisterait à m'exhiber dans la rue.Pierre reste silencieux, moi aussi.Il se gare. Avant de sortir de la voiture, il me bande les yeux avec un bandeau de soir noire :- Ce soir, je t'offre à des inconnus mais je t'enlève un sens : la vue. Il te reste le goût, l'odorat, le toucher et l'audition.Il m'aida à sortir de la voiture, il frappa à une porte, on lui ouvrit, il dit "bonjour, nous descendons", on lui répondit "bonne soirée". On prit un escalier pour aller - je suppose - dans un sous-sol - un escalier interminable. Il me poussa à l'intérieur d'une pièce, j'entendis la porte se ...
... refermer à clé. J'étais seul.Je commença à me déplacer - à tâtons. Dès que mes mains ont commencé à toucher une des cloisons, je fus rassuré : quelle angoisse d'être dans le vide.Peut-être que j'allais rester là quelques jours, prisonniers. J'avais donné ma confiance à mon Maître : ce qu'il faisait était juste pour mon bien, pour mon plaisir.Ce n'était pas un mur : c'était une cloison lisse, que je caressais à la recherche d'une issue, d'un indice. Soudain, une fente. Je touche...un trou. Je peux à peine passer ma main : rien. Je continue mon exploration : un autre trou : à l'évidence, la cloison est percée. J'avance encore un peu : ma main passe sur une peau...je caresse...ma queue se lève : c'est une bite, une belle bite pas tout à fait bandante. Je n'ai pas touchée une bite depuis une semaine entière : mon maître prône l'abstinence. Alors, là, je plaque mon nez et en respire profondément l'odeur. Je sors ma langue et la lèche amoureusement. Elle devient plus lourde, la soulève et commence à la pomper, cette queue qui grossit à m'en remplir la bouche.J'avais compris où j'étais. Pendant que je suçais, je touchais les parois étant sûr, connaissant mon maître, que d'autres bites m'attendaient. Je lâchait la première et bouche ouverte j'allais à la rencontre d'une autre : il me fallait plus grosse, plus juteuse, plus odorante....toujours plus.J'aimais les couilles pendantes aussi, celles que tu as bien en main. Occupé à aspirer le gland, je sentis une main me prendre par les ...