54.8 Le jeune loup à poil doré et le bel étalon à poil très brun.
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... son corps se cambrer, j’apprécie les soubresauts de sa queue pendant qu'il se répand à long traits brûlants et puissants dans ma bouche, pendant que le goût de son jus chaud de ptit mec explose dans mon palais, coule dans ma gorge… « Il t’a carrément retourné comme une crêpe, ton brun qui fait la gueule ! » fait le bogoss en m’extirpant de ma folle rêverie. « Il ne la fait plus… ». « Oui, il te baise à tout va en ce moment… ». « Il fait plus que me baiser… ». « Mais tu me kiffes grave, et si je disais oui, tu ne dirais pas non, j’en suis sûr ! ». Pourquoi est-ce qu'il me demande ça ? Ça lui intéresse vraiment que je le kiffe ? « Arrête, tu sais même pas où donner de la queue avec toutes les nénettes qui ont envie d’y gouter ! ». « C’est vrai en plus... tiens, aujourd’hui, j’ai une journée chargée… Sandrine vient chez moi à 16 heures pour prendre sa branlée… et ce soir ma copine rentre de Perpignan… ». « Ah, t’as une copine ? ». « Depuis un an… ». « Et t’as jamais pensé à être fidèle ? ». « Avec mon taf, je suis trop sollicité… et je suis faible… les trois quarts des nanas que je forme veulent coucher avec moi… même toi, tu me trouves canon… » il lâche, tout en me pinçant doucement le téton. Je frissonne, je bande. Le contact est super agréable, et il se prolonge. Je fixe le pont du périf et je sens mon corps conquis par l’excitation, tout en étant rongé par le sens de culpabilité. « Arrête, Julien, s’il te plaît… ». « Cause toujours, ton corps ne ment pas… je suis sûr que ...
... tu aimes… ». Son doigté est très agréable et très sensuel. L’excitation semble prendre le pas sur la raison… je ferme les yeux et… Et les images sensuelles et douces de mon bobrun font surface dans mon esprit ; je me revois, collé à son dos, en train de le caresser, de le branler ; je vois son visage crispé sous la vague de plaisir, je vois sa bouche qui frémit ; je retrouve toutes les sensations du contact avec sa peau, avec son corps, l’excitation, l’émotion, la sensation de bien-être, de douceur, de bonheur. Je repense à son baiser et les frissons du cœur que ce simple souvenir provoque en moi, s’élèvent au-dessus des frissons sensuels provoqués par les pincements des doigts de Julien sur mes tétons. « Arrête, Julien, vraiment ! » je m’entends balancer, en sursaut, presque en criant. Jamais je n’aurais cru un jour qu’un mec comme Julien me caresserait le téton, et encore moins que je le sommerais d’arrêter. Le contact de ses doigts sur mes tétons cesse d’un coup. Ça n’a duré qu’une poignée de secondes, mais suffisamment pour me faire sentir complétement en son pouvoir. Et pour me faire regretter que ça s’arrête. « Ok, ça va, ça va, c’était pour rire… » je l’entends se marrer « vas-y, roule ! On rentre… ». Lorsque je rouvre les yeux, le bogoss est déjà en train de cacher son torse spectaculaire sous le très sexy t-shirt blanc. Je me rhabille à mon tour, je prends une grande respiration et je me jette dans les flots de la circulation. Pendant le trajet vers l’autoécole, le ...