1. Blasons - 2


    Datte: 21/04/2018, Catégories: cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, poésie,

    ... laissent présager de divins trésors Encore bien plus précieux qu’un calice en or. Rien, aucun poil, aucun cheveu, Et pourtant très belle en ces lieux. Ainsi tout est découvert chez elle ; Une femme presque irréelle. Elle est pourtant si sensuelle À la fois amante et femelle. Elle se dévoile volontiers Car elle veut à tous montrer, Qu’elle existe et qu’elle vit, Cela malgré la maladie. Là ce corps nu et découvert Il faut sans faute qu’on le serre, Ainsi l’aimer et le chérir, Et faire la vie rejaillir. Pauvre être devenant débile. Un corps devenu pré-nubile. Seins à la plage Petits seins nus sur la plage Offerts aux rayons du soleil ; Ne restant jamais bien sages, Ils se meuvent avec merveilles, Accompagnant les mouvements De leurs belles propriétaires : Toutes charmantes jeunes filles, Ou ayant donnée vie, mères, Même plus âgés, ils brillent. Là alanguies sur le sable Ou sortant des eaux à pas lent Comme Vénus, convoitables Et venant des flots écumant. Ils sont tout dorés comme des fruits, Ces petits seins au goût salé. Leur rondeur est toujours garnie D’une aréole mordorée. Couple de collines, les tétons, Tout en rondeur, grâce infini, Sont, par une large dépression, Séparés, mais cela ne suffit. Lorsque la nudité des seins Est suivie du reste du corps, La vue est ravie de ces liens : La chatte et le cul sont de l’or. Vive les ...
    ... belles naturistes Qui se laissent admirer, Oui, elles ont pour les d’artistes De belles courbes tant aimées. Seins Oh ! Belles et rondes poitrines Vos formes et couleurs sont divines ? Dissimulées dans un corsage, Dans la dentelle on la croit sage, Pourtant chez eux tout est débauche, Allant ainsi à droite à gauche, Séparés par un adorable Sillon les démarquant, louable. Tout le plaisir est quand ils sont nus, Qui au moindre mouvement remuent, Suivant les moindres sursauts du corps. Beaux, ils scintillent comme de l’or, Deux monts sur lesquels seraient posés De durs mamelons roses et dorés. Seins lourds plaisant à être portés, Soupesés par les mains attirées Sous la caresse, le sein durcit, Bande sous le plaisir ressenti. Belles aréoles qui se figent, Qui sous la caresse s’érigent, Ainsi prêt à être tétées, Mordillées, agacées, embrassées. Oui, femmes nous aimons vos globes, Laissez nous les admirer ces beaux, Les montrer serait geste noble : Pourquoi donc cacher ses beaux lolos. Donnez-nous le plaisir de les voir De les découvrir en leur splendeur Que cela soit dans l’ombre du soir Ou la clarté du matin : douceur. Ces beaux tétons appelant les baisers, Au goût à la fois sucré et salé, Méritent les plus belles attentions ; Et c’est avec nos mains que nous irions Immoler, vénérer sur un temple, Tant de trésors se trouvant ensemble. 
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