Les suites de marrakech 3
Datte: 16/07/2017,
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Dans la zone rouge,
... plante sur la queue , descendant jusqu’à toucher le pubis ; amusé, il se laisse faire et elle le baise, se penchant sur sa poitrine pour l’embrasser ; il l’évite ; énervé, elle vainement ; dans sa détermination, elle s’est collée contre le buste masculin , offrant alors une vue bien dégagée sur son sillon ; il ne me faut pas longtemps pour venir au son contact et d’un doigt conquérant, je lui pénètre l’anus, le dilatant au max ; sous le contact, elle se cambre un peu plus « prend moi, j’ai envie de deux bites, faites-moi jouir « ce que femme veut ! Me positionnant sur l’anneau dilaté, je m’enfonce, sans aucune difficulté, dans le conduit déjà lubrifié ; sous le double possession, elle ne peut retenir un petit cri plaisir ou douleur ? C’est moi qui donne le rythme, lui la tenant fermement par les épaules ; son plaisir vient vite et je la barate vigoureusement ; soudain deux mains m’emprisonnent les hanches, et un gland vient perforer le cul ; j’avais oublié le fils et ma position lui tend un postérieur et un trou encore sensible de la précédente pénétration ; il m’en ...
... tiens pas compte ; il me baisse pour mon plus grand plaisir ; je ne peux plus bouger et Mico comprend pourquoi « il te baisse mon salop ; tu aimes te faire prendre, je sens les coups qu’il te donne bon dieu que c’est bon » il est vrai que chacun de ces coups se répercutent par une pénétration plus importante pour Mico ; d’autant plus qu’ sous l’enculade j’ai encore pris du volume ; quand il me défonce, je l’a défonce en même temps ; c’est à mon tour de jouir et je me vide , remplissant le conduit ; je débande, et ressors de la caverne dilatée, alors que je suis toujours pris ; enfin je le sens se crisper et si je ne le comprends pas, ses paroles, sans aucun doute pleines de « doux mots « à mon égard », accompagnent ses jets ; les grognements de mes voisins prouvent qu’eux aussi ont atteint le point de non-retour. Nos hôtes ont repris leurs vêtements et ils nous invitent pour le repas du soir, dans un restaurant typique et nous proposent de retourner à l’hôtel pour nous changer ; nous acceptons, et les trajets se fait en silence, Mico blottit dans mes bras. A suivre