1. La saga du cocu (1)


    Datte: 16/07/2017, Catégories: Divers,

    ... qu’il faisait voler son petit haut si sexy de l’autre côté de la pièce. J’étais aux premières loges, ils se tenaient dans l’entrebâillement de la porte. Merde ! Ce négro va sauter ma copine sous mes yeux. J’étais totalement humilié mais bizarrement, ma colère et ma frustration s’estompaient devant ce spectacle qui commençait à m’exciter moi aussi. Nathalie a alors baissé le caleçon de Souleymane laissant se dresser une bitte d’une taille impressionnante. Elle lui a tout de suite fait remarquer en ajoutant qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses. Puis l’a attrapé et l’a enfournée dans sa bouche. La taille du braquemart était vraiment ahurissante et lui posait quelques difficultés. Elle faisait ce qu’elle pouvait pompant le plus loin possible cet énorme pénis. Quand je pense qu’elle a toujours refusé de me sucer sous prétexte qu’elle trouvait ça sale et qu’à la première vue de cette énorme bitte black elle n’a pas hésité une seule seconde. J’étais complètement détruit, la suppliais d’arrêter mais en même temps mon excitation montait encore d’un cran devant cette scène incroyable. Après plusieurs minutes de ce traitement, Souleymane ne s’est pas retenu plus longtemps et a lâché son épaisse purée sur le visage d’ange de Nathalie. Elle a bien sûr avalé avec gourmandise. Un peu de sperme lui dégoulinait de la bouche sur le menton. Elle s’essuya avec les doigts s’y prenant en plusieurs fois puis les a léchés pour ne pas en perdre une goûte. La sensualité du moment m’avait ...
    ... rendu muet. De toute façon ils restaient sourds à mes cris. Une tempête venait de se déclencher dans mon caleçon. Ma propre copine suçait la bitte d’un autre devant mes yeux et ça me faisait bander. Comme elle se relevait, il lui retira le soutien-gorge d’un seul geste puis sa jupe avec laquelle il s’essuya la fleur. Toujours sans un regard pour moi, ils retirèrent leurs chaussures et se dirigèrent entièrement nus vers le lit. À ce moment, caché par la cloison je ne voyais plus rien mais j’entendais tout ! Nathalie gémissait comme je ne l’avais jamais entendue. Elle hurlait à la fois de douleur et de bonheur d’être pénétrée si profondément par cette énorme queue black. À peine couverts par les grincements du vieux plumard de Mickaël, Nathalie le suppliait tantôt de continuer encore plus fort, tantôt d’arrêter tellement la douleur était vive. Il lui criait des insanités : Salope ! Chienne ! Petite pute blanche ! Les fenêtres étaient grandes ouvertes et j’imagine que tout le quartier a dû profiter de leurs ébats. Ils ont fait l’amour toute la nuit. Je pense que Nathalie a eu droit à la totale : plusieurs pénétrations, levrette, 69 et même sodomie. Lui l’insultait et je l’entendais lui frapper les fesses. Ce porc prenant vraiment son pied. Ça a duré des heures et à chaque fois elle atteignait l’orgasme. J’étais à la fois déshonoré mais toujours très excité. J’avoue avoir eu de l’admiration pour le talent de cet africain si doué qui donnait tant de plaisir à ma dulcinée aussi ...