1. Quelques jours en Ophélie


    Datte: 22/04/2018, Catégories: fh, ff, inconnu, bain, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels hdanus, hsodo, portrait, coupfoudr,

    ... plaisantant. Tu es très attirante, Sandrine, c’est vrai que ça me tente, mais je ne crois pas que je vais céder, désolée.— J’aurai au moins essayé. Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Tu veux rentrer ou on peut encore aller se balader au bord du lac ?— Il n’est pas encore trop tard, me balader me plairait bien assez, mais au bord du lac il ne doit pas faire très chaud et si le Joran est levé, brrrr.— Madame me la rejoue frileuse ! On va faire la zone piétonne et on verra si on descend vers le lac, d’accord ?— D’accord, je te laisse décider.— Houlà, si tu me laisses décider, attends-toi à du spécial, ma chérie.— Qu’est-ce que tu veux dire ? Moi, je voulais simplement dire que je te laisse me guider dans la ville.— Oui, oui, j’ai bien compris, mais je connais des petits coins on l’on pourrait être bien tranquilles toutes les deux.— Tu recommences ? Je t’ai déjà dit que je ne cherchais pas l’aventure.— Mais je plaisante ! Bouh, ce que tu es susceptible ! Après avoir payé chacune notre part, nous sortîmes du restaurant pour nous diriger vers la zone piétonne distante de quelques centaines de mètres. — On laisse nos voitures là, c’est plus pratique que d’aller chercher des places au centre-ville.— Si tu veux ! Nous n’avions pas fait trois pas que déjà elle me prenait la main d’autorité dans la sienne, et se rapprochait un peu de moi. — Comme ça tu auras un peu plus chaud, me murmura-t-elle à l’oreille.— Que vont dire les gens ?— Je m’en fous. Et toi ?— Idem, j’ai déjà vécu quatre ...
    ... jours en nana et à être dévisagée comme une bête curieuse, une soirée de plus ne me fait pas peur. Elle me déposa un bisou sur la joue en riant. Nous nous sommes promenées ainsi pendant environ une heure, faisant du lèche-vitrines, admirant ici un bijou, là des vêtements, ailleurs des livres tout en devisant. Sandrine me tenant toujours la main, les passants nous dévisageaient, certains souriaient, goguenards, d’autres n’y prêtaient pas cas. Nos pas nous conduisirent finalement vers le lac. Un long ponton suspendu à un mètre au-dessus du lac était devant nous. Il n’y avait personne alentour, Sandrine m’y traîna d’autorité. Il y avait un banc tout au bout, nous nous y assîmes. Sandrine à ma droite. La nuit était presque tombée, il faisait encore assez clair pour distinguer l’autre rive, des multitudes de lumières l’éclairaient et sur le lac quelques rares bateaux naviguaient encore. Malgré mon appréhension, il ne faisait pas trop frais, et aucune brise ne soufflait. La température était encore agréable. Nous sommes restées un moment assises à contempler le lac sans mot dire, savourant cet instant de tranquillité. Je sentis le bras de Sandrine se poser sur mes épaules, je tournai la tête dans sa direction, ses lèvres se posèrent sur les miennes. Ce fut un baiser long et tendre. Je rompis la première. — Tu embrasses bien, c’était très doux et très bon. J’ai beaucoup aimé. Elle ne dit rien et, se rapprochant de moi, déposa à nouveau ses lèvres sur les miennes. Cette fois sa langue ...
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