1. Quelques jours en Ophélie


    Datte: 22/04/2018, Catégories: fh, ff, inconnu, bain, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels hdanus, hsodo, portrait, coupfoudr,

    ... qu’elle accepta avec empressement. Nous fîmes quelques pas dans la vieille ville que je lui fis visiter. Il n’était pas aisé pour moi de marcher sur les pavés des rues avec mes talons aiguilles, et je me cramponnais au bras de Sandrine pour son plus grand plaisir. Les bâtiments étaient éclairés, et donnaient un air de fête aux rues désertes de tout passant. — Voilà on a fait le tour de la vieille ville, elle est considérée comme une des plus belles de Suisse, mais c’est pas évident de marcher avec des talons aiguilles sur ces pavés, je me tords les pieds, on va aller prendre ma voiture et aller chercher la tienne, OK ?— Comme tu voudras, je te suis, de toute façon je suis là pour ça, non ?— Non, tu n’es pas obligée de rester si tu en as marre d’être avec moi !— Ne dis pas de bêtises, je suis bien avec toi, dit-elle en s’arrêtant et se hissant sur la pointe des pieds pour me donner un baiser. Après avoir récupéré sa voiture au parking, elle me suivit jusque chez moi. Les allées de la résidence étaient faiblement éclairées, et chaque voisin avait déjà baissé ses stores. Nous pûmes marcher jusque chez moi bras dessus, bras dessous sans rencontrer âme qui vive. J’avais à peine refermé la porte d’entrée et n’étais pas encore retournée qu’elle me soulevait ma jupe sur les hanches et me donnait avec sa main droite une petite fessée de quelques claques bien appuyées sur mes fesses à l’air. — Eh, dis donc, qu’est-ce qui te prend ? lui dis-je mi-furieuse mi-amusée de m’être ainsi ...
    ... laissé avoir.— J’en avais envie depuis l’instant où je t’ai vue sur le parking.— Tu n’aurais pas des instincts sados, par hasard ?— Non, pourquoi ? Tu n’as pas aimé ?— Je dois reconnaître que si, et tu pourras recommencer quand tu en auras envie, mais pas tout de suite, avant j’aimerais mieux faire ça… Et je la pris dans mes bras pour l’embrasser fougueusement. Je la pris ensuite dans mes bras pour l’emmener dans ma chambre au premier étage. Nous fîmes l’amour comme des folles, prenant plaisir à nous caresser, à nous faire plaisir jusqu’à l’explosion de la jouissance mais sans la déclencher. Je n’en pouvais plus de désir, je sortis de mon armoire un gode-ceinture que je lui ordonnai de ceindre et lui demandai de me prendre comme une femme. Ce qu’elle fit avec plaisir, me faisant mettre à quatre pattes et me lubrifiant d’abord avec sa langue pour pénétrer d’abord un puis deux doigts dans mon petit trou qui n’en pouvait plus de désir. Elle recommença à me fesser, de petites tapes d’abord puis accélérant le mouvement, de plus en plus soutenues, j’aimais ça, je le lui criai, elle continua de plus belle pendant un instant puis de nouveau vint me mouiller avec sa langue pour enfin présenter le gode devant l’orifice. J’écartais mes fesses de mes deux mains pour lui faciliter l’intromission, je serrai les dents lorsqu’elle commença à l’introduire en douceur, je retins mon souffle quand elle fut en moi, et commençai à crier mon plaisir quand elle commença à s’activer, faisant coulisser en ...