Fait vécu
Datte: 22/04/2018,
Catégories:
ffh,
piscine,
pénétratio,
confession,
extraconj,
... une longue plainte. Puis c’est comme si je me réveillais. J’ouvre les yeux et je vois Véronique penchée sur moi dans sa petite robe-soleil. Dans sa position, je vois ses seins qui me regardent. Je suis au paradis. Mais la réalité reprend sa place. Me voilà mal à l’aise. Qu’est-ce que je fais là étendu sur le gazon ayant fait l’amour à la bonne de ma cliente ? — Je te remercie pour les clés, Vincent, et pour cette belle pause que tu as prise. J’ai vraiment apprécié et Consuela aussi… bon, on va se remettre au travail. Et je les vois qui s’éloignent, Véronique caressant les fesses nues de Consuela. Je suis persuadé qu’elles vont continuer ensemble. Je me rhabille, sans caleçon, et me remets au travail. À l’heure du dîner, on m’invite à entrer. J’ai mon lunch et je préfère m’installer dans la balançoire à l’extérieur. Je n’ai qu’une demi-heure pour dîner. J’ai du retard à reprendre dans mon travail. Vers la fin de ce court repas, les voilà qu’elles viennent me rejoindre. Consuela s’assoit auprès de moi, Elle m’a apporté un café. Elle met sa main entre mes cuisses. Véronique me sourit et me dit en me regardant : — J’espère que je n’oublierai pas ton caleçon dans la sécheuse, mon mari se poserait des questions ! Ma demi-heure est passée. Je dois me remettre au travail. Je dis à Véronique que ma patronne ne comprendra pas que si peu de travail ait été effectué. Je me sens un peu inconfortable avec ça. — Ne t’en fais pas, me dit Véronique, je vais lui dire que je t’ai demandé ...
... toutes sortes de petites tâches, d’arracher de la mauvaise herbe par exemple. Elle va juste avoir plus d’heures à facturer. Je la connais, elle ne s’en plaindra pas. Je reprends le travail. La chaleur est accablante. Vers 16 heures, je vois Véronique sortir de chez elle. Elle porte un très beau petit bikini rouge. Elle vient me voir. Elle se penche sur moi. Elle a les seins très près de mon visage. Elle me félicite pour le travail effectué en me caressant l’épaule, le dos. Cette femme est magnifique. Je ne peux faire autrement que de me demander laquelle, entre elle et Consuela, est la plus belle. Elles sont tellement différentes, mais tellement désirables toutes les deux. Ce que je sais, c’est que Consuela est très chaude, qu’elle mouille d’une mouille si caressante. Véronique m’invite à me baigner avec elle. Elle n’aime pas être seule dans la piscine. Alors que j’hésite, je la vois au bout du tremplin. Elle plonge, nage toute la longueur de la piscine sous l’eau et réapparaît tout près de moi. — Et cette phobie, lui dis-je, de ne pouvoir mettre la tête sous l’eau ? Elle me regarde en souriant : — Ah oui, la phobie. Bien c’est quelque chose qui va, qui vient, qui va, qui vient… Pendant qu’elle dit ça, elle a collé ensemble l’index de sa main droite et le majeur de sa main gauche et fait un mouvement de va-et-vient très explicite, très indécent. Qu’une femme aussi distinguée fasse un geste aussi cochon m’excite sur-le-champ. Ma queue ne se pose pas de question, sa décision est ...