1. Tic ! Tic ! - 4


    Datte: 22/04/2018, Catégories: Humour, Lesbienne Mature,

    ... salle. La seule lumière provenait d’une porte au fond de celle-ci et elles l’apercevaient en ombre chinoise. Elles se regardèrent intriquer en le voyant glisser ça bite dans ce qui paraissait être la bouche d’une forme noire pleine de crocs acérer. Marie ne put s’empêcher de frissonner.— Outch ! — Entendirent-elles avant qu’il ne se recule précipitamment pour se prendre le membre et se le frotter comme s’il se masturbait. Et il rajouta, grognon : Maudit Carcajou ! Elles comprirent que ce n’était qu’un petit accident en se retenant de peine et de misère d’éclater de rire à nouveau puis il continua en se frottant toujours le pénis.— Seigneur, murmura Marie-France, Maudit Carcajou, elle est trop bonne celle-là. Faut pas le manquer demain matin avec ça.— Les hommes se la mettent vraiment n’importe ou, lâcha Marie le plus sérieusement du monde, avant d’éclater de rire a n’en pleurer avec Marie-France, mais tout bas, main sur la bouche. Elles finirent par se calmer en prenant de grandes respirations tout en se frottant le ventre.— Tabarouette, Marie, on s’ennuie vraiment pas chez toi. Mais se masturber en marchant, c’est vrai que c’est le fun.— Oui hein ! Mais, c’est vrai qu’on s’ennuie pas ici, ça, c’est sur, surtout avec lui. Yé tu encore la ?— Tu veux que je te porte sur mon dos, murmura Marie-France en sentant les deux mains de Marie se poser sur ses épaules et ses seins s’écraser contre son dos.— Hum... fit Marie en l’enlaçant, bonne idée. Si on allait se recoucher et se ...
    ... bécoter finalement.— Tentant ma grande, mais la, je veux vraiment savoir ce que fait ton imbécile de mari. C’est trop drôle. Après on ira se chatouiller les fesses. Demain, on fera la grâce matinée avait d’aller courir les boutiques. On a rien d’autre de prévu.— Bon, lâcha Marie en se reculant, continuons, mais... attend, c’est quoi ça.— Quoi ?— Ce bruit....— Rien entendu à part le maudit verglas.— Comme un, tic-tic, tic-tic.— Comme tout à l’heure dans la chambre alors. Ça se promène, un fantôme peut-être. Ici, ça ne m’étonnerait pas.— Moi ça m’étonnerait ben gros, nonote. S’il y avait un fantôme ici je le saurais depuis longtemps. Je ne l’entends plus, allons s’y.Elles repartirent et traversèrent quelques pièces stoppant quand Paul s’arrêtait et continuant quand il repartait. À un certain moment, dans la salle des artéfacts amérindiens il décrocha quelque chose du mur et repartit en riant comme un obsédé avec comme une arme dans les mains.— Seigneur, murmura Marie-France, il est devenu fou ton homme et qu’est ce qu’il a dans la main ?Marie dut attendre qu’il passe sous une lumière pour mieux distinguer l’objet et ses jolies petites fesses et elle fut surprise.— C’est un casse-tête iroquois, je pense. Maudit qu’il a un beau cul mon Paul.— Un quoi ?— Un cul.— Non idiote, je veux dire ce qu’il a dans la main.— Ah ! Une arme amérindienne qui sert a fracassé des crânes, un casse-tête et dans l’autre son pénis. T’as pas spécifié quelle main, ma noire.Marie-France rit un moment et dit ...
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