1. Les meringues


    Datte: 22/04/2018, Catégories: Hardcore,

    Les meringuesTravaillant à l'informatique dans une grosse boîte de développement, je suis amené à rencontrer pas mal de gens, parfois à lier des amitiés avec eux.C'était le cas de Sophie, aujourd'hui 35 ans, que j'avais rencontré sur mon lieu de travail, 1m68, une blonde aux yeux gris, sportive au corps mince souvent en pull moulant et jean serré affichant sa silhouette parfaite ses petits seins discrets et son cul sur lequel on laisserait bien les mains se promener.Nous avions lié une amitié purement platonique étant chacun en couple mais dès le premier jour elle ne m'avait pas laissé indifférent, ces petites grimaces amusantes qu'elle pouvait faire lorsqu'elle butait sur un problème, son large sourire, sa démarche, son odeur.Et puis récemment elle avait rompu avec son mec fâché du sourire qui semblait confondre les dates de séance de câlins avec celle des matches de football avec ses potes, il avait fini par la mettre à la porte de chez elle, et j'avais été là pour lui remonter le moral avec d'autres de ses amis mais pour une raison que j'ignore elle semblait plus me « parler réellement » qu'aux autres peut-être parce que je ne jugeais pas et cherchais toujours le compromis jusqu'à la qui aurait pu sauver son couple ou au moins finir leur histoire sans tempête. À sa décharge il n'avait malgré ses 37 ans jamais vécu en couple et n'avait pas « l'expérience » de la vie à deux.Dernièrement j'avais été chez elle et comme j'avais fait une tonne de meringue avec ma fille je lui ...
    ... avait proposé d'en ramener. Elle adorait ça mais passait son temps à les rater alors elle avait abandonné. Aussi lui proposais-je sans arrière pensée de venir à la maison en faire avec moi 2 semaines plus tard, je serai seul et nous ne serions pas dérangés pendant l'exécution de la recette.À bien y repenser j'aurais du tilter, faut pas être doué pour foirer des meringues, ce n'est pas compliqué à faire et sans être une grande cuistot elle savait faire pas mal de trucs sur lesquels j'aurais certainement séché lamentablement.Elle arriva donc avec quelques œufs, son sourire, ses magnifiques yeux gris en ce début de dimanche après-midi. « Bon sang, si j'étais célibataire, ça fait longtemps que j'aurais essayé de t'avoir pour moi » pensais-je en la voyant arriver toute pétillante.Je la fis entrer fermait la porte derrière elle et comme à l'accoutumé nous nous fîmes la bise de rigueur. Au fond de mon esprit, un petit déclic se fit sentir, elle avait fait les deux bises bien proches de mes lèvres aujourd'hui mais c'était sûrement le fait de n'avoir pas baisé depuis des lustres.Elle avait attaché ses cheveux fins ensemble et certaines mèches retombaient délicatement sur le côté de son visage angélique. Elle portait un pull noir mais pour une fois avait cédé le col roulé pour un col très large qui laissait une de ses délicates épaules dénudée ou aucune bretelle de soutien-gorge n'apparaissait non plus.« Mais non, arrête, si ça se trouve elle a un soutif sans bretelle, tu sais couillon, ...
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