Premiers pas - Histoires de Sexe

Premiers pas

... lubrifiant, ainsi que l’entrée de son petit trou. J’ai ensuite approché mon gland de l’entrée, et ai commencé à pousser doucement pour faire rentrer mon appareil. Si mon sexe est d’une longueur à peu près normale, il est assez épais, et dut s’opposer à pas mal de résistance dans sa grotte. Je la vis s’agripper aux oreillers alors que je tentais de me frayer un chemin, puis elle poussa un petit cri alors que j’étais à mi-chemin. Je sortis alors aussi lentement que je m’étais introduit, un peu inquiet, ne voulant pas lui faire mal. Elle parvint à me dire entre deux soupirs violents de continuer. Je m’exécutai donc et recommençai mon cheminement dans son petit trou, faisant de petits allers-retours en prenant soin d’appuyer un peu plus à chaque « nouvelle entrée », pour rentrer plus profondément. Après quelques minutes, me voilà enfin au fond de son orifice. La sensation m’était très agréable, et il semblait que je ne sois pas le seul à l’apprécier, si j’en jugeais par la forme de son sexe, qui semblait avoir oublié sa fatigue d’il y avait quelques instants. Je me retirai de l’intérieur de ses fesses pour y rentrer de nouveau, lui arrachant un petit cri, et amplifiai les mouvements du bassin ainsi que leur rythme. À ce moment-là, tout le sang de mon corps était dirigé vers mon pénis, ce qui m’empêcha de détailler les cris de ma partenaire, mais il me semble qu’elle poussait régulièrement des cris de plaisir. Au rythme de mes coups de bassin, je baladais également mes mains le ...

... long de son corps, sur sa poitrine, ses hanches, ce qui me permettait de donner encore plus de vigueur à mon mouvement, et à son phallus, tout dur à nouveau. Au bout de quelques temps (combien ? je ne saurais dire) de va-et-vient dans sa petite caverne, je ne pus plus retenir mon plaisir, qui sortit par giclée au fond de son anus. Elle a alors accompagné mon cri de plaisir du sien, presque aussi vigoureux. Je suis resté un instant dans ses fesses après avoir joui, comme pour enfin pouvoir savourer cet instant dont je n’avais pu profiter avant, tant j’étais dans un état second. Je me suis ensuite retiré, ce qui a causé la chute d’une coulée blanchâtre de son anus, ma coulée. Sans hésiter, j’ai collé ma langue à son trou, comme pour la nettoyer, avant de m’allonger à côté d’elle. Elle ne tarda pas trop à s’effondrer à son tour, sans doute éreintée par ce que je venais de lui faire subir, et vint récupérer mon plaisir sur ma langue. Nous avons pris le temps de récupérer chacun notre souffle, puis elle me dit avec un regard passionné « à ton tour maintenant ». Je ne savais plus trop quoi dire, il est vrai que je ne m’y attendais pas trop. Voyant ma réaction, comprenant assez vite que j’étais vierge de cette partie du corps, elle me rassura immédiatement en m’assurant qu’elle serait douce. J’allais me mettre à quatre pattes lorsqu’elle m’arrêta pour me dire : — Non, reste sur le dos. Lui faisant confiance, je m’exécutai. Elle descendit ainsi au niveau de mon pénis, dans le même état ...