1. Secrets du perche (2)


    Datte: 23/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... même pas laissé le choix c’était limite un ordre. C’est ainsi qu’à 13h j’étais chez elle où elle m’invita à rentrer dans son séjour sombre, mais qui me rappelait de bons souvenirs. Je n’ai pas été très étonné de voir qu’Élodie était là et elles m’ont directement emmené à l’étage. Je vous le donne en mille, elles m’ont accompagné jusqu’à la chambre où j’ai pu constater que tout avait l’air d’être bien préparé. Je ne vais pas vous donner de détails pour l’instant mais cela m’a impressionné d’autant que je n’étais même pas sûr que cela soit pour moi. Quand elles se sont mises à me déshabiller j’ai commencé à me poser des questions, tout en commençant à avoir une grosse érection. Quand Sophie m’a dit qu’elle allait s’occuper de moi et surtout qu’elle allait me dresser, j’ai commencé à me poser des questions; qu’allaient-elles faire de moi. Une fois nu, pour mon plus grand plaisir; elles m’ont fait enfiler une combinaison en lycra laqué avec un zip qui partait de mes fesses jusqu’à mon cou. Elles m’ont mis des gants moignon qui étaient fixés au-dessus de mes poignets, une ceinture d’au moins 15 cm de large au niveau de la taille avec plein de fixation dessus; ainsi que de larges bracelets en cuir au niveau des chevilles qu’elles se sont empressées d’attacher l’un à l’autre. Le côté bondage m’excite énormément du coup je me laissais faire comme un automate offert à son concepteur. On était limite dans le sadomaso mais je ne savais pas comment cela allait tourner; la chose que je ...
    ... savais désormais c’est que je ne contrôlais plus les événements. J’ai repéré une cravache et un martinet c’est une chose que je déteste, du coup j’essayais d’obtempérer à toutes leurs demandes. En m’expliquant que d’abord j’allais leur faire une toilette, Sophie m’a fait agenouiller entre les cuisses bien écartées d’Élodie; puis elle m’a plongé la tête dans ce milieu qui ne me déplaisait pas du tout. J’étais un peu comme une momie dont on faisait ce que l’on voulait, mais j’adorais mon état actuel. J’étais parti pour un après-midi de dressage, de domination et de soumission à ces deux femmes. Pour l’instant je ne regrettais pas la petite main au cul que j’avais collé à Sophie. C’est mon nez qui est entré le premier en contact avec sa toison ça commençait à sentir bon la femme même si c’était un minou de gougnotte. Je peux vous garantir qu’elle savait y faire avec les hommes, je n’ai pas eu trop le temps de rêvasser et me suis retrouvé complètement plaqué contre son minou poisseux. C’était plus fort que moi il fallait qu’avec ma langue je nettoie tout; le plus fort c’est que ma langue en passant donnait du plaisir à Élodie. J’étais conscient que rapidement tout mon visage, voire même peut-être un peu mes cheveux allaient sentir le minou. De temps à autre dehors, j’entendais un cheval henire ou une vache meugler; cela me permettait de me resituer un peu le lieu des événements. Il y avait aussi dehors un gros chien, un rottweiler me semble-t-il, qui de temps à autre aboyait sans ...