Sortie entre bidasses (1)
Datte: 23/04/2018,
Catégories:
Divers,
... Je suis... Quelques minutes plus tard, je crois que j’ai dormi, nous arrivons devant un immeuble. On descend. Puis je suis le petit groupe dans un hall, puis un ascenseur et enfin on entre dans un appartement. Une femme d’une cinquantaine année nous ouvre. Elle est en nuisette, avec une robe de chambre très légère... Je louche sur son décolleté au moment où elle m’embrasse. Elle le voit me tapote sur l’épaule avec un sourire amusé, et nous annonce qu’elle doit se recoucher parce qu’elle travaille le lendemain. On s’installe au salon, on me sert un whisky très très costaud... J’écoute, je souris bêtement quand j’entends rire, je suis complètement à l’ouest... Je finis par ne plus pouvoir lutter et je m’endors sur le canapé. A un moment je sens que l’on me secoue, j’ouvre les yeux c’est la propriétaire des lieux... « Ça va ? J’ai une chambre d’amis tu veux t’y coucher. — Non je vais aller avec les autres en boite. — Bah ils sont partis il y a un moment déjà... — Merde ! Et ils m’ont laissé là? — Ils ont bien essayé de te réveiller, même de te lever mais tu es plutôt du genre costaud et ils n’arrivaient pas à te bouger... très costaud même... » Elle flattait mon torse de la main comme pour constater ce qu’elle disait. — « Sylvie. — Quoi ? — Sylvie c’est comme ça que je m’appelle, et toi ? On n’a pas été présentés je crois. — Benoit. Mais je ne veux pas vous ennuyer, je vais y aller. — Tu ne m’ennuies pas, et il est deux heures du matin les autres m’ont dit que tu devais être ...
... au camp pour 11 heures. Dors ici, ne t’embête pas. » Sa main qui continuait à caresser mon torse, est passée sur mon ventre, et maintenant glisse sous la ceinture de mon pantalon. Elle cherche ma queue, je suis figé. Elle ne la trouve pas et décide d’ouvrir mon pantalon. Avant même que je m’en rende compte mon jean est grand ouvert et sa main est dans mon caleçon... Elle ne tarde pas à me faire bander comme un âne à force de caresses. Elle se lève, et me demande de faire pareil pour qu’elle me déshabille. Ni pour ni contre j’obtempère. Elle est plus âgée que ma mère, mais je la regarde avec sa petite nuisette. Elle a de gros seins lourds, des hanches marquées, des fesses très rondes... Sans réfléchir je lui attrape les seins à pleines mains. Ils sont flasques, mais je sens de gros tétons durs pointer sous l’étoffe. Ma main passe sur son ventre rond. Elle m’arrête et me dit: « Ne t’emballe pas mon chéri, je suis indisposée. Merci de ne pas plus me chauffer ! » Je m’excuse et enlève mes mains immédiatement. Elle rigole et me dit que je suis mignon. Elle enlève mon t-shirt, mes chaussettes, mon pantalon puis mon caleçon. Je suis nu comme un verre devant elle avec une gaule pas possible. Je me sens complémentent con, loin d’avoir repris mes esprits je ne sais pas quoi faire. « Allez, assied-toi mon grand, je vais t’aider à te débarrasser de cette belle trique. » Elle me pousse et je bascule sur le fauteuil. Aussitôt elle se met à genoux entre mes cuisses, saisit mon chibre et le ...