Satisfaire les fantasmes de mon patron
Datte: 23/04/2018,
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Dans la zone rouge,
... falloir que tu obtempères à ce nous allons te demander !» Saisissant deux autres cordes, il les fit passer sur deux poutres à environ trois mètres de Gérald, qui tirait de plus en plus sur ses liens. «Ludo, amène la par ici » Le gros obéit à son père, et me planta devant lui, il commença à me déboutonner le chemisier, mes deux seins, soutenus par un léger demi soutien gorge noir, seins nus, jaillirent lorsqu'il écarta les pans. Il commençait à transpirer d'excitation. Il baissa la fermeture éclair de sa salopette et sortit son sexe qui était presque aussi gros et long que celui de Gérald. « Oh putain, Ludo, mate un peu le soutard...rien que ça, ça me fait bander... » D'un geste brusque il ôta mon chemisier. Il fallait que je donne le change, j'essayais de lui résister en me débattant, mais il avait déjà rabattu le chemisier sur mes bras et les bloquaient ainsi. La bataille m'avait érigé les mamelons et ils dardaient au dessus des bonnets de dentelles noires. « Ludo, tiens lui bien les bras pour ne pas qu'elle gigote ! » Celui-ci derrière moi ôta complètement le chemisier et me rabattit les bras dans le dos, ce qui eut pour effet de faire encore plus saillir mes deux globes fermes. Les deux mains moites du vieux se posèrent sur mes seins et commencèrent à les pétrir. Il le faisait sans ménagement, puis il prit mes tétons entre le pouce et l'index et commença à les faire rouler entre ses doigts. Il y planta ses ongles, mes mamelons malgré eux commençaient sous la douleur à se ...
... gorger de sang et s'ériger de plus en plus, puis il les tira. J'adorais que l'on triture mes mamelons. Je remuais mon torse, en vain cela semblait exciter encore plus l'homme de voir le tressautement de mes seins. Sa bouche vint se plaquer sur un de mes mamelons, et il commença à le mordiller. Mon esprit ne pouvait plus contrôler, je ne faisais plus semblant, mes tétons répondaient à ce qu'ils subissaient, mes aréoles étaient pi graillées de chair de poule, le fermier s'en aperçu, car il se mit à les aspirer à tour de rôle avec avidité. « Regarde fiston, t'as vu on dirait qu'elle apprécie, ses tétons ont grandi d'au moins trois centimètres ! - Oui, oui mords les, pince les, putain c'est bon !! » Ayant dit cela, il plaqua sa bouche sur le mienne, j'eus un hoquet de dégoût. Son haleine était fétide, sentant le tabac et le vin, mais il força mes lèvres avec sa langue, et me l'enfila dans la bouche. Je lui rendis son baiser, en prétextant qu'Alfred me payait en conséquence et qu'il fallait que je satisfasse sa libido ! Mais je réalisais de suite que c'était faux, Ce n'était plus ma tête qui commandait, mais mon corps, mon sexe... j'étais dans un état second. Je n'attendais plus qu'une chose, me faire baiser par ces hommes dont l'un ressemblait à un gorille et l'autre à un épouvantail. Sa bite immense et dure se frottait contre moi. Pendant ce temps ses mains étaient descendues le long de mon dos nu, avaient trouvé et ouvert la fermeture éclair de ma jupe. Il la fit descendre sur ...