Vacances avec ma Filleule (10)
Datte: 23/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... rosette brune encore ouverte par mon passage, où ma pisse se mélange à mon foutre pour ressortir en grumeaux et couler le long des cuisses de ma chienne de femme. Delphine réagit à peine ; elle se trémousse de l’arrière-train comme une petite chienne. Je dirige mon jet sur ses grandes lèvres puis remonte à la position initiale. Pour finir, je lui arrose le bas du dos, et une rivière de pisse suit le sillon de sa colonne vertébrale pour finir sa course dans sa chevelure noire et sur sa nuque. Cette rivière dorée la fait réagir : elle se redresse et commence à se retourner. Étant sur la fin de ma miction, avant qu’elle ne parle je la chope par les cheveux et lui enfonce mon sexe mou dans la bouche. • Nettoie-moi, salope ! • Huuuummmm… • Cesse de parler et suce-moi ! Après quelques léchouilles de sa part, je rejette sa tête en arrière. • Vas te laver, traînée ! Sans un mot, Delphine se lève, et toute dégoulinante de mes fluides elle se dirige vers la salle de bain en boitillant. Je remarque que j’ai été un peu fort sur les fessées : son cul est vraiment très rouge, voire même à sang sous certaines traces de doigts. J’ai des remords ; à son retour de la salle de bain, je lui demanderai d’accepter mes excuses. Après une bonne dizaine de minutes, Delphine revient avec Alexandra. Elle boîte encore légèrement. • La douche est libre, Monsieur le pervers. • Merci, petite chienne ! • En parlant de petite chienne, tu as vu qui j’ai trouvé en train de nous mater ? • Eh bien, aussi ...
... chiennes l’une que l’autre, on dirait… • Oui. Du coup, je l’ai prise avec moi pour qu’après la douche elle me passe de la crème sur les traces de tes exploits. • Tu as bien fait ; d’ailleurs, à ce sujet, je voudrais m’excuser d’y avoir été aussi fort. • Non, non ; tu n’as pas besoin de t’excuser, mon bel amant : je t’ai cherché, et je t’ai trouvé. Et puis tu es le maître des lieux ; tu as donc tous les droits sur nous. • Bien ! Eh bien, si c’est comme ça que tu le prends, parfait ! Par contre, si tu te sers de mes jouets, j’aimerais à l’avenir que tu les habilles. • Quels jouets ? • Alex : tu ne lui as pas mis son collier. • Excuse-moi pour mes fautes ; je vais le lui mettre tout de suite. • Laisse. De toute façon, je dois aller à la douche ; je prends Alex avec moi et je le lui mettrai au passage. • Comme tu veux. • Et moi, je n’ai pas mon mot à dire ? proteste Alex. • NON ! • Tu dois te faire toute petite, ma chère : tu as été une vilaine fille, hier, et les vilaines filles n’ont pas le droit de parler : elles respectent les règles de leurs maîtres. Du coup, aujourd’hui et jusqu’à nouvel ordre, tu porteras ton collier de chienne et tu seras à ma botte. Compris ? • OK… Je lui claque la cuisse. • Oui qui ? • Oui, parrain ! dit-elle en se frottant la cuisse. Sur ces mots je me lève, embrasse fougueusement Delphine, me tourne vers Alex et l’embrasse de la même façon. • Repose-toi, ma chérie ; je risque d’en avoir pour un peu de temps. • OK. Je pense que je vais prendre un peu le ...