Sabine ou sa pine ?
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
h,
hh,
jeunes,
jalousie,
vidéox,
Masturbation
intermast,
Oral
... plat, de sorte à pas se casser les yeux sur son PC 10’’. Putain le pied ! Enfin non, c’était sa chatte, et je n’en avais jamais vu une en si gros plan ! Et c’est celle de Sabine en plus ! Glabre, sûrement douce et luisante. La caméra faisait des allers-retours en zoom sur chacune des parties intéressantes de son corps de déesse. Elle, elle minaudait et se la jouait actrice X, complètement prise au jeu. Lui, il lui disait des mots cochons, lui demandant ce qu’elle voulait et lui dévoilant ce qu’elle allait prendre. Zoom avant sur sa bouche, zoom arrière et une bite apparaît, une belle tige au gland violacé. Je jetais un discret coup d’œil à mon pote, il en faisait de même. Je respectais notre pacte et ne dis mot. Et si d’aventure j’avais dit quelque chose, ça ne pouvait être qu’un compliment, car il semblait assez bien monté. J’avais déjà eu l’occasion de voir sa bite en érection, et lui la mienne, lorsqu’on s’était masturbé ensemble devant un mauvais porno enregistré en douce sur Canal. Mais c’était il y a longtemps, et depuis on avait tous bien grandi. Les images s’enchaînent, sur l’écran comme dans ma tête, je vois la bouche de Sabine englober sa queue, la sucer avidement, lâcher le chibre pour lécher les couilles. Il semble avoir à l’image une érection de fou, dur comme du bois, et… moi aussi. Je me tortille sur le canapé, tentant tant bien que mal de remettre mon paquet en place. Syl me regarde en rigolant et me demande si ça me plaît. Je lui réponds que s’il voyait ma ...
... bite, il poserait pas de question conne. — Ah vas-y fais voir alors ! D’ailleurs t’es en train de regarder la mienne, y’a pas de raison ! Je plaque alors mon jogg sur mon entrejambe et apparaît une déformation sans équivoque. — Voilà t’es content ? lui dis-je en ricanant. Je m’en tiens à cette démonstration mais au fond de moi, je n’ai qu’une envie, celle de libérer le monstre et de le purger de son trop-plein, pote ou pas pote à côté, l’alcool m’a complètement désinhibé, sans pour autant me faire perdre ma gaule, chose rare chez moi. Mais l’action à l’écran y est pour beaucoup, toujours filmé à la première personne, Sabine est maintenant en train de se faire sauvagement pénétrer en levrette. Le mandrin tendu à mort la pilonne sans relâche et on entend cette petite salope couiner et ahaner. Je continue de taire mon ressenti mais je suis excité à en crever. L’air de rien, je pince et tripote ma bite par-dessus mon vêtement. Je n’ose y aller trop franchement, d’abord par pudeur, puis parce que je serais bien capable d’éjaculer comme ça, dans mon calbute. Sylvain quant à lui, peut-être pour me décomplexer, passe sa main directement dans son caleçon, fait quelques mouvements puis, levant les fesses, passe son jean sur ses cuisses et sort son membre par la braguette du caleçon. — T’as qu’à te mettre à l’aise aussi, me dit-il, on est plus à ça près… Je vais pas me faire prier plus longtemps, je prends une gorgée de picon-bière et zou, j’ai le falzar sur les chevilles et la queue dans ...