1. L'Île de Marana Chapitre 01


    Datte: 19/06/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... fois avec une sorte de cravache. Effrayé, je retire tout de suite mon slip et le dépose sur la table. Les deux acolytes sont déjà occupées de fouiller toutes mes affaires et de les retourner dans tous les sens. Je les vois prendre mon iPhone et l'ouvrir. Je n'ose même pas leur dire de faire attention. Je me retrouve donc tout nu devant ces trois géantes noires. Je me sens encore plus petit, plus impressionné par la situation. Si ces femmes avaient eu une taille normale, c'eut peut-être été sexy, je suis quand même bien fait. Mon corps est lisse, bien musclé, bien entretenu, sans absolument aucun poil. Je suis assez fier de moi, et mes petites amies m'ont toujours complimenté. Elles examinent mes affaires de près. Tout mon sac semble étalé sur la table, pour ce que je peux en voir. Une table qui se trouve à hauteur de mes yeux. Je n'avais jamais vu cela. J'attends. Au bout d'un moment de fouille, la gradée prend un téléphone et appelle. La porte derrière moi s'ouvre et deux policières entrent. Maintenant, je me sens encore plus écrasé. Il n'y a pas beaucoup de place et je me retrouve tout nu avec cinq géantes noires dont j'arrive à peine à la taille. — Emmenez-le, et enregistrez-le. Quand c'est fait, vous me le ramenez. Les deux géantes me prennent chacune un bras au niveau des poignets et il m'est impossible de me dégager de cette emprise. — Arrêtez, tenté-je, vous n'avez pas le droit! La gradée frappe encore son bureau de sa cravate. — J'ai tous les droits. Obtempère, sinon ...
    ... il pourrait t'en couter cher. Je me laisse faire. De toute façon, je n'ai pas le choix. Et comme mon humiliation n'était pas suffisante, l'une des gardienne prend mes deux poignets dans une seule main et passe mes bras au dessus de ma tête. Alors elle me soulève. Cela tire et j'ai mal, mais elle n'en a cure et c'est ainsi que nous retournons dans le couloir. Et du couloir dans la rue. Ce n'est pas vrai, je suis tout nu dans la rue, porté par les poignets par une femme géante. Heureusement, la petite place du port semble déserte et nous allons directement dans le bâtiment principal. Nous sommes directement dans une grande salle avec des bureaux et plusieurs autres femmes noires géantes. Il n'y a que cela dans ce commissariat, des femmes noires géantes. J'en vois au moins cinq en plus de celle qui me tient et celle qui me précède. Depuis que je suis complètement nu, mon sexe est entré en érection. Je ne peux l'empêcher, et cela me déstabilise encore plus. Je ne sais pas d'où vient cette excitation exaspérante. Rien à faire. La peur et la honte ne l'empêchent pas du tout. Je suis transporté jusque devant le bureau d'une autre grande noire, encore plus impressionnante parce qu'elle est grosse et une grosse femme de 2m50, c'est vraiment énorme. Celle-ci ne daigne pas s'occuper de moi et termine de remplir un document avant de me regarder de derrière sa grande table. Cette fois, je suis en l'air, et je vois la table. — Comment t'appelles-tu? — Arno, madame. — De quel pays viens-tu? ...
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