L'Île de Marana Chapitre 01
Datte: 19/06/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... dise pas de connerie. Comme si j'allais mentir, je suis déjà assez mal à l'aise complètement nu au milieu de ces femmes noires géantes. Je ne pense à rien d'autre que la vérité. La femme termine son dossier et hèle une autre. β Reconduisez-le chez la capitaine. A nouveau mes deux bras sont levés et empoignés par une seule main pour me soulever. Une géante me précède, l'autre me tient. Ainsi retournons-nous dans la rue. J'aperçois les trois filles qui étaient avec moi il y a peu. Elles me regardent passer, étonnées de la tournure des événements. Je dois vraiment avoir l'air ridicule ainsi porté par cette géante. Dès que nous entrons dans l'autre bâtiment, je me défends. β Vous n'avez pas le droit de me faire passer tout nu. C'est indécent. Nous entrons dans le bureau de la capitaine. β Alors, on se rebelle? β Non madame. β Tu crois que nous n'avons pas le droit de te garder ici? β Je n'ai pas dit cela. β Allez le mettre en cellule, qu'il réfléchisse bien à son sort. Sans me déposer, la femme serre encore son étreinte, j'ai mal, mais elle n'en a cure. Nous ressortons ainsi, d'abord dehors où heureusement il n'y a plus personne et ensuite le grand bâtiment. Dans le grand bureau, il y a toujours les mêmes femmes qui travaillent. Nous allons dans une autre pièce. Une grande et grosse noire arrive. β Un mâle récalcitrant, quelques heures de cellules pour le calmer. La grosse femme me regarde méchamment. Je panique. C'est vrai, personne ne sait que je suis ici, et c'est un pays de ...
... sauvages. Si ces femmes me font du mal, personne ne le saura, personne ne sait que je suis ici, et je n'ai même pas donné mon nom aux filles. La femme ouvre la porte d'une cage au milieu de la pièce. Tout est en carrelage blanc. Celle qui me tient les poignets me pose devant l'entrée de la cage et me pousse. Je tombe par terre et j'entends la porte se refermer. C'est vraiment une cage, je ne peux m'y tenir debout, juste courbé. Je peux m'y coucher, mais le carrelage est froid. La grosse noire me regarde du dessus de la cage. β Médite sur ta condition, petit mâle. Tu ne fais pas la loi ici. Mais pourquoi suis-je venu ici? Je me promets, dès que je suis libéré, je retourne à l'embarcadère et j'attends le premier bateau en partance. Je bouge un moment puis m'étends sur le sol et ferme les yeux. J'ai froid. Je vais partir d'ici. Autour de moi, j'entends des bruits. La grosse noire vient parfois me voir de près. Elle frappe la cage quand j'ai les yeux fermés. β Pas dormir, mâle! Prends pleine conscience de ta présence en cage. La prochaine fois, tu sauras que tu dois obéir. Des heures plus tard, la porte s'ouvre sur deux géantes. La grosse ouvre ma cage et m'ordonne de sortir. Cette fois, je ne dirai plus rien, j'attendrai ma libération et je partirai. Je me sens soulevé et nous retournons dans le grand bureau. Une femme vient se poster devant moi. β Alors, tu es calmé? Me demande la femme gradée. β Oui madame. β Bien, amenez-le chez la capitaine. J'ai le temps d'apercevoir deux ...