1. BBQ


    Datte: 24/04/2018, Catégories: fh, extraoffre, inconnu, Oral préservati, pénétratio, totalsexe,

    ... René, si j’en crois son pantalon assez tendu. Ce qui me facilitera la tâche. Je décide d’agir sans trop de subtilité, d’autant que les minutes me sont comptées : — Dur comme ce qu’il y a dans votre pantalon ? Il ouvre de grands yeux étonnés, ne sachant pas quoi répondre. Quelque chose me dit que c’est à moi de prendre purement et simplement l’initiative. Alors, je m’agenouille devant lui, et avant qu’il ait pu faire un geste de défense, je fais jaillir un beau morceau hors de sa prison de tissu. — Voilààà, c’est-y pas mieux comme ça ?— Ben…— Vous êtes moins à l’étroit, non ?— Euh… oui…— Bougez pas, je vais vous détendre à ma façon ! Et sans l’avertir de quoi que ce soit, je commence à déguster cette sucette improvisée. Je fais remonter doucement ma langue le long de sa veine palpitante, les hommes adorent ça. Je lape sa queue à petits coups, vicieusement. Je taquine son frein, puis je remonte sur son méat. Puis ouvrant mes lèvres, j’enrobe son gland, ce qui fait gémir son propriétaire, assez dépassé par la situation ! Comme à chaque fois, je prends beaucoup de plaisir à sucer un homme, à lui donner du plaisir, c’est l’un de mes petits vices. Puis j’engloutis la moitié de sa bite pour commencer une succion dont mon jeunot se souviendra ! En effet, je le sens se crisper comme si c’était intenable. Je suis fier de moi et de mon effet sur lui. Afin de le laisser respirer un peu, je l’ôte de ma bouche, et je lui demande innocemment : — Vous voyez, ça détend, non ?— Vous voulez ...
    ... rire ? C’est pire qu’avant ! J’ai une envie folle de…— De juter ? Pas de souci ! Il y a toujours une solution à tous les problèmes ! Alors ma langue remonte lentement le long de sa barre. Arrivée au bout, je lape suavement son méat telle une petite chatte. Voyant que l’issue est proche, car sa bite est de plus en plus assaillie de spasmes, j’enfourne à nouveau une bonne partie de sa queue frémissante, et je commence un pompage dans les règles de l’art ! — Ah non ! ah non ! Arrêtez ! Je… je… Soudain, après deux-trois autres va-et-vient, sa bite frémit de façon incroyable, puis un énorme jet inonde ma bouche d’un sperme lourd et épais. Son goût reste plaisant, un peu acide. D’autres jets surviennent, moins puissants. Je les bois à la dernière goutte, aspirant bien à fond afin de ne laisser aucune trace de mon sensuel forfait. Après une dernière léchouille, je le retire de ma bouche, puis tendant le bras, j’éteins le four : — René, retirez vite le plat, sinon votre surveillance n’aura servi à rien…— Euh… oui… Je me relève tout en contemplant la bite à présent molle et avachie de mon jeunot. Puis prenant une démarche chaloupée, je quitte tranquillement la cuisine, laissant derrière moi un René qui n’a toujours pas compris ce qui vient de lui arriver ! Ça n’a même pas duré deux minutes, ce qui n’est pas plus mal, car je n’aime pas toujours que ça s’éternise… Sauf pour mon homme qui a le droit et le devoir de me faire l’amour durant des heures et des heures. Et quelques rares autres ...
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