1. Le temple


    Datte: 24/04/2018, Catégories: f, asie, frousses, religion, fépilée, vacances, forêt, Masturbation fdanus, fantastiqu, initiatiq,

    ... déshabiller complètement, lentement, et de se retrouver entièrement nue et sans la moindre honte. Au beau milieu de la grande salle, elle fit d’abord tomber son sac à dos sur le sol. Ensuite, tremblant légèrement des mains, elle enleva sa veste de marche, sa montre-bracelet, ses grosses chaussures canadiennes, sa chemise de trappeur qui révéla directement deux seins fermes et lourds. Ses doigts firent ensuite glisser vers le bas la braguette de son jeans. Quelques secondes plus tard, il lui restait son slip qu’elle ne tarda pas à retirer aussi, révélant deux petites fesses rondes, la gauche étant tatouée d’un minuscule idéogramme chinois. Elle remarqua qu’elle respirait plus vite. Portant sa main droite à son sexe rasé, elle se découvrit trempée. Elle se mit à quatre pattes, son cul bien cambré, ouvert sur l’entrée de la salle. Tandis que sa main droite labourait sa fente et courtisait son clitoris, sa main gauche malmenait ses seins. Son excitation augmentait à chaque seconde. Elle jouit une première fois. Couchée à plat ventre sur le sol poli de la pièce, elle récupéra quelque peu, sous l’oeil bienveillant du Sage. Une envie d’uriner traversa son cerveau. Elle se remit debout et sortit à l’extérieur, sa longue chevelure rousse et bouclée flottant dans le vent qui s’était levé. Au pied de l’escalier, elle s’accroupit et libéra ses eaux immédiatement avalées par la terre. Revenue dans le temple, elle vit près d’une fenêtre une pièce de bois poli d’une trentaine de ...
    ... centimètres de hauteur. S’en approchant, elle constata qu’il s’agissait d’un olisbos, réplique d’un pénis aux mensurations impressionnantes. Il était enduit d’une gelée à l’odeur agréable, dont elle sut sans le moindre doute qu’il devait s’agir d’un lubrifiant. L’olisbos, fixé sur un socle, trônait maintenant au milieu de la salle. Au-dessus de lui, Kate, debout, écarta ses fesses. Lentement, elle s’accroupit et son anus effleura le sommet du gland sculpté. Petit à petit, la réplique en bois força son sphincter et progressa dans les entrailles de la jeune anglaise qui entama un lent mouvement de va-et-vient, mouvement qui s’accéléra. L’odeur de la gelée lubrifiante se mélangea aux odeurs corporelles de la jeune femme. L’anus était maintenant béant. Kate se libérait quelquefois totalement de l’olisbos et s’y empalait à nouveau fougeusement. Elle aurait voulu que cela dure des heures. Enfin, toujours sous le regard d’un Bouddha qui ne juge pas des faiblesses de l’être humain, Kate, dégoulinante de transpiration, ses sucs internes tapissant l’intérieur de ses cuisses, se libéra de l’organe sculpté, tomba à genoux et atteignit un orgasme d’une intensité telle qu’elle tomba évanouie. Combien de temps est-elle restée là, nue et seule ? Quand elle rouvrit les yeux, un vent frais la fit se rhabiller rapidement. L’olisbos était toujours au milieu de la pièce, présentant çà et là quelques traînées brunâtres qui rappelaient son incursion dans les profondeurs de Kate. Son sac à dos enfilé, elle ...