1. Leslie NR38


    Datte: 25/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... lentement son sexe, ses doigts titillent son bouton gorgé de désir, s’enfoncent en elle. Elle gémit, se doigte, se masturbe en regardant fixement mon sexe dressé. Ses doigts vont et viennent, elle feule, le ventre creusé par le plaisir, la respiration courte et le regard hagard. Tremblante, elle se laisse glisser sur le matelas, sur le dos, passe ses mains sous ses cuisses et ramène ses jambes vers son buste. Puis ainsi, pliée en deux, les yeux perdus dans l’horizon du petit matin, elle me laisse investir ses reins, forcer son petit trou étoilé… Elle me laisse le temps qu’il faut en me regardant d’un air presque suppliant, celui de jouir en elle, alors me laissant aller, je jouis au fond de ses reins. Puis Manon, se relève, me prend par la main et me dispose en levrette, puis se glisse derrière moi et me lèche les testicules, puis le périnée, crache sur son anus, y insinue sa langue pointue, desserre mon anneau secret, le stimule et le pénètre de la langue. Je frémis emporté par le viol de cette langue qui me fouille. Manon remplace sa langue par un doigt au creux de mes reins, elle le sodomise de son doigt. Je feule tandis qu’elle entame un lent va-et-vient, s’emparant en même temps de ma queue gonflée pour me masturber, puis elle me dit en relâchant son étreinte : - Je t’ai fouillé les reins de mon doigt, j’aimerais t’enculer avec un gode ceinture. - J’aimerais bien ça, lui dis-je. - Alors dans ta cabine tout à l’heure… Après le petit déjeuner les hommes sont parti faire de ...
    ... la pêche sous-marine, accompagnée de Cathy qui vu sa tenue ne pensait pas qu’à attraper des poissons, mais plutôt de faire fourrer pas les eux mâles, enfin le résultat était qu’ils nous laissaient seuls avec Manon pour nos ébats… Sitôt disparus, Manon m’entraina dans sa cabine où elle m’allongea sur le lit et commença à me sucer, très rapidement je fus en érection et elle s’attaqua à mon œillet qu’elle lécha pour bien l’humidifier. Puis me sentant prête, elle s’harnacha se son gode ceinture qui était sous l’oreiller. Elle se plaça alors entre mes jambes en me disant : - Je vais te sodomiser mais je veux te regarder… Et elle enfonça son gode en me faisant gémir, non pas que l’engin était long, mais la largeur m’écarta subitement l’anneau, et elle rajouta : - Tu le sens bien, il est large et j’adore m’en servir sur les petits culs comme le tien ! Et elle me sodomisa pendant de longues minutes en me regardant dans les yeux et scrutant mes réactions, tour en me branlant d’une main. Elle avait l’habitude et donnait de grands coups de reins aussi bien qu’un homme, sur son visage je pouvais voir le plaisir qu’elle prenait et cela me fit jouir et me répandre sur mon ventre… Elle continua encore de longues minutes, me tirant des soupirs à chaque pénétration, puis heureuse de m’avoir donné du plaisir, elle se retira et me demanda de la sodomiser une nouvelle fois. A la tête que faisaient nos trois complices de retour de leur plongée, nous avons tout de suite compris avec Manon, qu’eux ...