La gérante de la galerie d'art (6)
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mollement quand j’ai posé l’extrémité du plug sur sa rondelle mais je n’en ai pas tenu compte. Des simagrées de chochotte. Avec un cul pareil qu’elle ose prétendre qu’elle ne s’est jamais fait prendre le petit. Surtout que son petit trou est des plus appétissants : un petit œillet bistre, bien net, bien rond et bandant comme je n’ai jamais vu ! J’ai poussé et l’objet a forcé sa petite rondelle qui a cédé sans trop de problème. Elle n’a même pas crié, elle a soupiré, la chienne ! Mais c’est que j’ai l’impression qu’elle aime ça… ! Il est rentré en elle et je lui ai fait faire quelques aller-et-retours, tout en mitraillant avec mon reflex dans l’autre main ; je venais juste de prendre des clichés de son cul, fesses ouvertes, bien déployées sur tous les angles. Et également de ma main bien appuyée sur sa fesse comme si elle venait de lui appliquer une claque. Cliché intéressant pour avoir l’échelle : j’ai pourtant des grosses paluches mais la dame a vraiment des fesses bien larges, on ne dirait pas à la voir comme ça, ah elle est bien pourvue la salope ! Quand je me déplace et arrive à hauteur de ses épaules, lui laissant le plug bien enfoncé dans le cul, elle a tourné sa tête vers moi et j’ai vu à son air incrédule qu’elle venait de comprendre que c’est un objet que je lui avais enfoncé. Quelle chienne, elle croyait que j’étais en train de l’enculer et elle n’avait même pas protesté. Ma parole, elle n’attend que ça ! Je comprends mieux maintenant pourquoi sa mouille lui ...
... dégoulinait pareillement sur l’intérieur des cuisses, presque jusqu’aux genoux, et pourquoi sa vulve toute rose était si gonflée. En tout cas mon reflex n’en a rien perdu ! Quand elle verra son anatomie en gros plan, quelle honte elle aura ! Maintenant, tandis que je photographie ses beaux cheveux, sa jolie petite gueule, et ses beaux nichons à faire bander un mort, je vois qu’elle louche sur mon entre jambes. Elle ne peut ignorer la gaule qui déforme mon pantalon moulant le tend à me faire mal. Elle ouvre des yeux comme des soucoupes : on dirait qu’elle n’a jamais vu un chibre de cette taille, même encore moulé par le cuir. Et c’est pas vrai, j’hallucine : elle lève son bras et sa main caresse ma cuisse en remontant… hésite un peu et continue : elle me caresse le paquet, sa jolie petite main aux ongles rouges vernis de bourgeoise de galerie me caresse doucement la pine ! Elle en a vraiment envie, elle va l’avoir ! Ma main droite appuie sur sa nuque, lui faisant bien sentir mon emprise, tandis que de ses jolis doigts elle caresse en de longs va-et-vient la moulure de ma colonne phallique. Je pose un instant l’appareil sur son dos lui recommandant de ne pas trop bouger (je ne voudrais pas qu’il tombe, un reflex à plus de mille boules !) : ma main gauche dégrafe ma ceinture et je lui ordonne de me déboutonner ma braguette, et d’extirper la bête. J’ai repris l’appareil et photographie en gonzo tant bien que mal. Elle arrive de sa main gauche à tout déboutonner… elle est douée, plutôt ...