1. Introduction


    Datte: 25/04/2018, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, fsoumisah,

    ... considérez déjà comme votre soumise. N’allez-vous pas un peu vite ? Mon avis ne devrait-il pas être requis ?— Je ne vous considère pas comme ma soumise, car mes soumises, je les tutoie, annonça Gilles en souriant.— Ça ne semble pas être une chose que l’on peut changer…— Ça vous dérange ?— Pas du tout, non, répondit Élodie.— Tant mieux, parce que c’est une chose sur laquelle je ne pourrai pas faire la moindre concession. Je tutoie mes soumises, et elles me vouvoient. C’est ainsi, et pas autrement.— Pas de problème, souffla Élodie. Il y eut alors un petit silence. Élodie regarda un bus s’arrêter sur le trottoir d’en face et y déverser quelques passagers avant de reprendre sa route. — Au fait, dit-elle en se tournant vers Gilles, j’avais déjà envie de vous poser cette question dans la voiture et j’ai failli oublier.— Je vous écoute.— Serait-ce indiscret de vous demander votre âge ?— Pas le moins du monde. J’ai trente-cinq ans. Et vous ?— Vingt-quatre, annonça Élodie.— Vingt-quatre ans et seulement trois relations sans plaisir. Oui, vraiment, vous n’avez pas eu de chance. Élodie haussa les épaules. — Avec moi, ça changera, je vous le promets.— J’ai l’impression que vous essayez de vous vendre, dit-elle en souriant.— C’est exactement le cas. Je suis totalement prêt à vous prendre pour soumise. Je n’attends que votre accord. Mais je vous en prie, prenez le temps qu’il faut. Je ne voudrais surtout pas que vous regrettiez votre choix. Élodie hocha la tête et apprécia qu’il la laisse ...
    ... ainsi libre. — Parlez-moi de votre travail, proposa alors Gilles. Élodie fut bavarde. Elle aimait parler de son emploi qui lui plaisait énormément. La conversation fut intéressante mais Gilles y mit un terme. — Élodie, désolé d’interrompre cette soirée que je trouve charmante, mais j’ai promis de vous ramener chez vous pour vingt-et-une heures, et ce moment est arrivé. Il la raccompagna comme prévu et se séparèrent en toute cordialité sur le trottoir. Lorsqu’elle rentra chez elle, Élodie se dit qu’elle appréciait décidément beaucoup ce beau brun. oooOOOooo Ils se revirent trois fois pour de simples discussions. Deux dîners puis un déjeuner, un mercredi de repos d’Élodie mais de travail pour Gilles qui dut abréger la conversation pour retourner regarder son écran d’ordinateur au bureau. Élodie passa l’après-midi à se demander ce qu’elle voulait. Elle commençait à vraiment apprécier les moments passés avec Gilles. Il était très aimable et toujours très attentif. Il connaissait déjà les couleurs qu’elle aimait porter, ses préférences en matière de nourriture et de voiture, ses passe-temps favoris et bien d’autres choses encore. En plus de tout cela, il était galant, charmant et ses conversations étaient intéressantes. Il ne parlait jamais pour ne rien dire, avouait facilement son ignorance dans certains sujets et bien que d’avis politiques opposés aux siens, il argumentait avec calme et patience, sans jamais s’énerver, même lorsque leurs opinions différaient radicalement. Élodie ...
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