1. On se déshabillera plus tard


    Datte: 25/04/2018, Catégories: fh, hplusag, médical, revede, pénétratio, humour, h+medical,

    ... que je ne resterai pas toute ma vie en environnement hospitalier.— Je te comprends.— Et toi, le boulot ?— Trop d’heures, et devant des écrans, voici poindre une nouvelle génération de bigleux avant l’heure.— T’en as d’autres, des histoires ? demande-elle alors… Voilà qui change les règles du jeu. Moi qui pensais assener, on demande ! Tout en regardant la carte sans la voir, je songe que je n’ai plus à me fouler pour trouver un enchaînement. Mimant sans me forcer la surprise, puis la recherche et le choix parmi les centaines de possibilités, je réponds : — Oui, euh, tiens : une histoire étonnante d’une ex, retrouvée après plusieurs années et qui a manifestement changé de mœurs en peu de temps. Je commence alors : — J’étais en dernière année d’ingénieur. Et que font les dernières années ? Ils draguent les premières années évidemment. Je résume, Fabienne est blonde, avec des formes, comme je les aime. À peine sortie de son lycée et consacrant tout son temps au travail, je te laisse imaginer la première année à lunettes, famille stricte et cul serré. Bon, je la fais courte, je passe les boums et autres soirées qui m’ont permis d’accéder à son lit, je te raconte la suite : Il a fallu se déshabiller dans le noir complet. Ensuite, pour embrasser, elle ne met pas la langue, ça fait bizarre.— Vraiment ? dit Anne Laure, qui pour la première fois se permet un commentaire, mais d’une façon exprimant clairement que ça ne risquerait pas d’arriver avec elle. — Je continue… non, prenons ...
    ... la commande ! Nous changeons. Pas la même chose qu’avant-hier quand même. Toujours pas d’alcool, un plat direct, encore de la Vittel et c’est parti pour poursuivre l’histoire. Alors : — Non, pas les doigts ici, qu’elle me dit. Je t’explique : suite à quelques caresses, je trouvais le clitoris sec, et je cherchais donc à mouiller mon doigt là où tu sais. Je suis hilare ! Oubliant un instant à qui je parle, comme si j’avais Sylvie avec moi, à l’affût de détails croustillants, me voilà qui décris à Anne Laure avec force détail le calvaire que ça peut être de déniaiser une jeunette : — Bon, si on ne peut caresser la chatte après un quart d’heure de papouilles dans le cou, que faire ? Ah oui, je t’ai pas tout dit ! Les seins, bon, on peut toucher un peu, mais pas téter ou embrasser : « T’es pas un bébé », qu’elle m’a dit. Plus tard, mon visage en route vers sa chatte, elle proteste : « Mais qu’est-ce que tu fais ? » et elle me remonte vers son visage, dans le droit chemin. Alors, j’essaye de l’enfiler, je prends sa main pour l’amener à prendre ma queue, pour avoir un guidage en douceur. Elle retire sa main ! Bien, je me débrouille sans et alors, je n’ai réussi qu’à entrer le gland, tu sais, le bout du pénis ? Bref, c’est pas rentré beaucoup plus au début, elle poussait des petits cris, je n’ai jamais su si c’était de plaisir ou quoi. J’ai essayé de lui parler tendrement, de poser quelques questions : une tombe ! Et voilà. Bon, j’ai essayé de me montrer câlin, sans plus de succès. ...
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