1. La réaction violente d'un mari cocu


    Datte: 25/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... tomber car je pense qu'il me prend pour une "vide-couilles", lui se soulage, il n'y a pas de sentiments et mon plaisir il est ou???. De plus je sais qu'il va voir Solange qui lui fait souvent surtout des pipes. Ensuite j'ai appris fortuitement qu'en même temps il entretenait une relation avec Marie Laure une fille de Michèle ce que cette dernière m'avait caché. Je continue à voir Roger en copain, parfois il passe me voir le matin de bonne heure (il travaille de nuit), mon mari est parti au travail à cette heure. Un matin pas de chance mon mari revient à la maison, son bus n'est pas passé, Roger se cache dans un cagibi et fait tomber des bouteilles. C'est le drame, Pierre le sort de la maison par la peau du dos, tremblante de peur je vais me cacher derrière la maison. Cela ne sert à rien il me trouve facilement et je dérouille: les gifles pleuvent, j'en pisse dans ma culotte. <<je pars travailler, si tu es encore là ce soir il va falloir t'expliquer et ça va barder pour ton matricule, tu ne vas pas t'en tirer facilement. Le soir je l'attends à genoux dans l'entrée, je lui demande pardon avec seule excuse qu'avec ses déplacements lui et son pénis me manquaient. <<ton excuse est minable, prépare toi pour la fessée et demain tu iras acheter un martinet pour une deuxième correction>>. <<non! pas du martinet ça fait trop mal>>. <<Et le mal que tu m'as fait ce n'est rien>>. Vaincue j'enlève ma jupe et ma culotte, je m'approche de lui craintive. Il s'assoit sur une chaise, attache ...
    ... mes mains ensemble côté ventre, il me couche sur lui et commence à frapper mes fesses sans retenue. Je le supplie d'arrêter, il m'ordonne de me taire sinon il frappera plus fort. J'essaie de ne pas crier mais la douleur due à la violence des coups est trop importante. je pleure et je crie mais il ne cesse pas de me frapper. La punition semble durer une éternité. mes fesses sont enflées, tuméfiées et écarlates. Il m'envoie coucher sur le sol à côté du lit avec juste un oreiller. le lendemain matin j'achète le martinet et le soir il s'en sert sur mes fesses (très douloureuses de la fessée reçue) et sur mes cuisses. La douleur est pire que celle ressentie la veille. J'ai encore le droit de dormir à même le sol. j'ai vraiment mal dormi la nuit dernière et je me suis levée avec le corps endolori. Il m'explique la suite de ma punition: <<1) Pendant un mois pas de bite dans ton cul, tu me feras une pipe le matin et une le soir, si je ne suis pas satisfait tu dormiras sur le sol>>. <<2) pendant un mois tu porteras la robe que je t'aie préparée sans culotte et ni soutien-gorge et si quelqu'un vient tu peux le recevoir mais en portant cette robe, essaie la>>. Il me tend une robe qui était dans l'armoire et que je ne mets plus, je l'enfile et surprise: il l'a découpée en divers endroits. je me regarde dans un miroir: le sein gauche est visible et le droit sort à moitié, un rond est découpé au niveau du sexe, pareil côté fesses, sur les côtés une fente qui monte très haut. <<je ne peux pas ...