Fascination - Histoires de Sexe

Fascination

... tu es parfaite. Tes formes généreuses, ton sourire qui illumine ton visage, tes petites taches de rousseur.— Flatteur !— Non, franchement, c’est sérieux. Depuis la première minute où je t’ai vue, j’ai été conquis.— Merci, c’est gentil. Les plats s’enchaînent et notre conversation se poursuit. Je lui raconte le stratagème que j’avais élaboré pour la rencontrer dans le parc, le bonheur que j’ai d’être en sa compagnie, etc. Elle est touchée qu’une personne ait fait tout ça pour elle. C’est la première fois qu’on fait tant attention à elle. Le repas touche malheureusement à sa fin. À son retour chez elle, elle me demande si je souhaite venir boire un dernier verre en sa compagnie. — Volontiers. Après quelques minutes de conversation, n’y tenant plus, je me dis qu’il est temps de tenter quelque chose. Je décide de passer mon bras autour de ses épaules. — Mais qu’est-ce que tu fais ?— Rien, j’avais envie de sentir ce que ça fait de t’avoir dans les bras.— Et que ressens-tu ? me dit-elle en rigolant.— Ça fait du bien. Et ça me donne d’autres envies.— Ah oui et lesquelles ?— Eh bien par exemple j’aimerais tendre mon visage vers le tien et t’embrasser. Je la vois rougir et prendre une respiration avant de répondre. — Essaye pour voir ce que ça fait. Je me penche alors vers elle et pose mes lèvres sur les siennes pour un petit bisou. Puis je m’enhardis et force ses lèvres pour un baiser plus profond. Elle n’hésite pas et m’offre ce que je désire depuis bien longtemps : un baiser ...

... long et fougueux. Mes mains caressent ses bras et son dos. Je sens qu’elle frissonne. À son tour, elle parcourt des doigts mon torse par-dessus ma chemise. Je décide alors de tenter le tout pour le tout et lui empaume un sein que je caresse doucement. Elle ne se dérobe pas. Je sens son téton grossir sous ma caresse. Mon autre main descend caresser sa cuisse que je trouve particulièrement douce. Lentement je remonte entraînant le bas de sa jupe sans qu’elle fasse quoi que ce soit pour m’arrêter. Puis reprenant ses esprits elle me dit : — Non Patrick, il ne faut pas, je suis mariée.— Mais tu en as autant envie que moi non ? Me disant que je ne dois pas lâcher le morceau, je l’attire à nouveau contre moi pour l’embrasser à nouveau. Et de nouveau sa bouche s’ouvre pour laisser nos langues danser un merengue d’anthologie. Je décide alors de repasser ma main sous sa jupe et de remonter doucement en caressant sa cuisse. J’arrive à sa culotte qui est déjà bien humide. Isa pousse directement un gémissement tellement c’est sensible. Je caresse alors de toute ma main à travers le tissu. Isa écarte maintenant les jambes. Elle ne résiste plus. Elle se donne à moi en laissant échapper de petits soupirs. Elle mouille de plus en plus. Sa culotte est trempée. N’y tenant plus je m’agenouille entre ses jambes et embrasse ses chevilles tout en défaisant ses chaussures. Une fois pieds nus j’embrasse ses pieds et glisse ma langue entre ses orteils. Elle tremble. Je remonte ensuite doucement en ...