1. Vous en rêvez ! Vous y pensez souvent ! (1)


    Datte: 26/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Inceste / Tabou

    ... chose ? — Ne joue pas avec mes mots. — Je plaisantais. C’est juste que cela m’intrigue. Comment les gens en arrivent là ? Comment lui s’est retrouvé ainsi ?J’ironise : — Une étude sociétale, si je comprends bien. — Bon, tu ne veux pas ? Tu ne veux pas ? J’annule. — Bon, d’accord. Mais tu me jures que c’est juste pour "savoir". Pas plus. — Promis. Juré. Alors, tu es d’accord ? — Ouais ! Ah, ce que tu ne me fais pas faire !C’est plus qu’un restaurant. Plutôt une guinguette, comme il en existait sur la Marne, avec un charme désuet. En plus, il fait beau et nous déjeunons dehors. Notre hôte n’est pas seulement un bel homme chargé de mystères, c’est aussi un compagnon de repas charmant. Nous avons parlé de beaucoup de choses avant que Paul le lance sur le sujet : — Ce serait indiscret de vous demander comment vous avez commencé ? — Non, pas du tout. Vous aussi, Lise, souhaitez savoir ?Sa question me surprend, surtout que l’homme me regarde fixement. Il sourit. Je rougis car un instant j’ai un flash me remémorant dans le bus, cuisses dénudées et le même regard qui devait détailler mon intimité. — Euh… oui. J’ai aussi été voir votre blog.Il sourit franchement. — Alors vous me connaissez beaucoup plus intimement que moi je vous connais.L’allusion est évidente ; je ne peux que rire. — Pour commencer, il faut dire que j’ai été marié et qu’avec ma femme nous fréquentions le milieu échangiste : clubs spécialisés et soirées entre amis. Mais nous nous sommes séparés.J’interviens : — Je ...
    ... croyais que ce genre de pratique soudait un couple, au contraire. — C’est vrai, mais ma femme est tombée amoureuse d’un de ses collègues. On ne peut pas lutter contre cela. — Ah, désolée. — Il ne faut pas. Nous sommes restés de bons amis. Le plus drôle, c’est que maintenant avec son nouveau compagnon c’est plus classique. Bref, tout cela m’a "remis sur le marché" et…Pendant de longues minutes entrecoupées de questions de Paul, Serge raconte son parcours. Petit à petit son récit devient plus chaud lorsqu’il décrit certaines situations, et il faut dire que, si c’est mon mari qui pose des questions, c’est toujours vers moi que les réponses sont données.Le silence qui suit ces confessions est d’une densité incroyable. — On entend de la musique ou c’est une impression ?Je suis heureuse que Paul coupe ce silence qui s’éternise. C’est vrai que nous étions dans une bulle mais qu’autour de nous la vie continuait. Presque toutes les tables sont pleines, et en fait de silence c’est un brouhaha continu, mélange de conversations, de rires, de tintements de verres et assiettes et, Paul à raison, une musique de fond. — Non, vous entendez parfaitement : de l’autre côté de l’auberge il y a un parquet. — Un parquet ? — Oui, comme autrefois dans les guinguettes, un parquet de danse. — Ah… — Lise, vous voulez peut-être vous dégourdir les jambes. Je peux vous inviter à danser ?C’est comme cela que je me retrouve dans les bras de cet homme qui vient justement de nous conter certaines rencontres avec ...
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