1. tableau IX, la bonne mystique


    Datte: 26/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Inceste / Tabou

    Tableau IXJ'avais une amie, très grande mystique devant l'absolu, qui ne me donnais rendez vous que dans des lieux sacrées.Des chapelles ou on se roulait des pelles aux églises ou je lui glissait la pinne, les abbatiales abritaient nos ébats.Catin des cathédrales ou elle lâchait ses râles, c'était parfois, à l'heure de l'office, dans un presbytère dont nous forcions une porte pour qu'elle aille me la presser dans le lit rance du curé.Je revois les lèvres de sa vulve s'écraser contre le moucharabieh gothique du confessionnal. Elle m'y racontait des horreurs tout en se troussant et ne manquait jamais d'y laisser un étron en offrande.Les différents calibres de cierges n'avaient plus aucun secret pour elle, pour petite ou grande communion, confirmation, pour baptême ou funérailles, elles les avait tous étrennés.Derrière l'autel, le cul en l'air, un cierge dans le con, un autre dans le fion, je les allumais et regardais la cire, comme un sperme liquoreux couler lentement et venir mourir dans sa sombre toison.Nous allions parfois a de grands offices le dimanche en nous enfonçant préalablement chacun un Christ en croix dans le cul. Nous attendions avec impatience les moments d'assise car à peine enfoncé jusqu'au genoux dans nos culs après le gloire à Dieu, le Christ nous pénétrait jusqu'à la taille après la lecture de l'évangile. Venu l'instant de l'assise de la prière universelle il y était jusqu'à la poitrine et nous attendions tremblant des prémisses de l'extase du long moment ...
    ... d'assise de la communion durant lequel nous allions pouvoir nous délecter des morsures cruelles de ses deux bras dans nos fessiers dévots.Nous allions ensuite, en clopinant prendre l'hostie, le tiraillement du martyre dans nos culs nous faisait souvent lâcher des larmes lorsque, la langue tirée, le serviteur de Dieu nous y déposait la chair du Christ.Nous passions assurément pour de fervents chrétiens, mais à vrai dire, le corps du Christ en laiton dans le cul était la seule approche de l'eucharistie qui nous touchait à l'âme anale.Cette mystique dissidente un jour eut pour projet d'attirer l'attention des enfants de chœur d'une petite paroisse. Plusieurs dimanches de suite elle alla à l'office et à force de petits regards en coins, faussement timides, jetés avec alternance à l'un et à l'autre des deux enfants de chœurs, elle finit par attiser leur désir niais.Elle me chargea un dimanche d'aller discrètement porter avant la messe un message à chacun des deux servants devenus rivaux. Elle les y invitait, dans des termes vagues, à les rejoindre après l'office dans la sacristie.Durant la messe, la tension et l'animosité entre les deux enfants était palpable. Les regards haineux qu'ils se lançaient faisait trémousser mon amie sur sa chaise.A la fin du sermon, pendant que le curé écoutait avec complaisance les racontars des villageois, les deux officiants fuirent coude à coude vers la sacristie. Mon amie m'entraîna à leur suite, et c'est dans une pièce exiguë, humide et froide, aux ...
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