1. Terreur à Ténérife Ch. 03


    Datte: 26/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... rudesse, ce qui était du vraisemblablement à leurs origines populaires. Le flot des consommateurs commença à se tarir vers 6 heures du matin, mais il reprit de pus belle lorsque les équipes de jour arrivèrent vers 8 heures, on put dormir deux heures d'affilée. Le flot régulier de consommateurs dans la chambre, leurs grognements de plaisir me firent comprendre rapidement qu'il était vain d'espérer dor-mir encore un peu. Vers 16 heures le comparse d'Harold sortit de sa chambre caméra en main et obligea ma pauvre Jenny éreintée à lui faire une dernière fella-tion. Lorsqu'elle se fut occupée de lui avec science, il nous prévint que l'on pouvait fermer la porte et récupérer pendant quelques heures. Nous étions trop crevés pour manger où même prendre une douche. Nous nous recroquevillâmes dans le lit et on dormit d'une seule traite jusqu'à 8 heures le lendemain matin. Puis on se précipita pour faire nos bagages pour nous préparer au voyage de retour. Nous n'avions toujours pas mangé lorsque nous sommes arrivés à l'aéroport, nous voulions y être tôt pour nous retrouver, dans un endroit sécurisé où nous pourrions en toute sécurité nous décontracter et penser à manger. Le contrôle franchi, nous nous sommes rendus au restaurant de l'aéro-port où nous avions pu nous sustenter. Nous aurions du être affamés si on considère le peu que nous avions mangé ces trois derniers jours, mais on ne fit que picorer dans nos assiettes avant de retourner dans l'aire d'attente où nous avons trouvé deux ...
    ... chaises dans un endroit relativement écarté de la foule. Je tenais Jenny serrée contre moi alors qu'elle gardait les yeux rivés au sol, perdue dans ses pensées, ou s'efforçant de ne pas penser. Lorsqu'enfin on se retrouva assis dans l'avion qui avait décollé, elle craqua et se mit à pleurer silencieusement pendant un long moment. Je la tenais étroitement enlacée, mais je la laissais pleurer tout son saoul, pleurer ne pouvait que lui faire du bien pensais-je en mon fort inté-rieur. Les hôtesses s'arrêtèrent à plusieurs reprises s'inquiétant de cette pro-fonde détresse, je leur assurai que tout allait bien, que Jenny avait be-soin d'un peu de temps pour se reprendre. Je commandais deux boissons fortes, le boire sembla l'aider. Lorsqu'elle cessa de pleurer, elle tenta longuement de s'excuser pour ce qui venait de nous arriver. Cela m'horripilait de la voir s'excuser de s'être fait violer à répétition ces trois derniers jours! ..... De mon coté je m'excusais de ne pas avoir été capable de la protéger, finalement nous nous sommes tus nous serrant l'un contre l'autre pour dormir un peu. Nous devions changer une fois d'avion, mais excepté cette escale, nous avons dormi presque tout le temps du retour. Je ne sais pas si nous étions vraiment reposés, mais nous avions vrai-ment besoin de rattraper de nombreuses de sommeil avant d'atterrir, ce-la nous permit de récupérer un tant soit peu. Nous étions si heureux d'être de retour en sécurité chez nous! ...... Nous avons pris notre temps ...