1. Impromptue 2


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Exhibitionniste, y a des gens qui me disent telle. Le suis-je réellement ? C'est pas que j'aime montrer mon cul, non. Ce que j'aime, c'est que les gens autour de moi soient intéressés. Regardeurs. Regardeurs de moi. Et je puis vous dire que c'est bien le cas. Mateurs même dirais-je. Les filles, à détailler ma robe, mes godasses, le soutif ou la brassière qu'elles essayent de deviner, ma culotte même. Les gars, plus prosaïques, me déshabillant de leur regard inquisiteur, s'interrogeant sur ma touffe, sa couleur, sa taille, son existence même et les plis de mes chairs hors l'abricot sous le gonflé de mon pubis charnu. Moi, je peux vous dire que tout ça, j'aime assez. Surtout les mecs. Leurs regards sur le tendu de ma robe au niveau des nibars disent explicites leurs pensées. Les gars, c'est pas compliqué, pensent qu'à ça. Et pour vous dire, c'est pas pour me déplaire. Ça me fait chaud au ventre ce truc-là. Chaud entre les cuisses sans parler de la mouille qui me vient chaque fois qu'un mec me mate concupiscent. C'est-y-pas un mot explicite, ça, concupiscent ? Enfin, moi je crois. Le vocabulaire, c'est pas compliqué, ça dit très exactement ce qu'on pense. Moi je vogue. Les voiles gonflées de vent d'autant. Ma caravelle file son ère. Et j'ai le cul qui baigne... Le mec, le pirate, qui me course me fait monter la mouille jusqu'au gosier, c'est vous dire si ça chaloupe sérieux entre mes cuisses au fond de mes entrailles. Ce midi on est, ma copine et moi, au resto. Face à face, à ...
    ... une petite table de deux, au milieu de la salle. Des mecs, y en a un quartet juste à côté à nous bader de leurs yeux brillants. Nous on applique le principe de précaution, on commence à les chauffer et on verra après si ça nous dit de poursuivre. Il n'y a rien de plus idiot que de laisser filer un bon coup ... alors nous, enfin moi, j'amorce abondamment, je ferre systématiquement tout ce qui mort et je ne rejette jamais rien à la mer, il est trop petit ou autre considération écolo ou règlementaire. Ma copine cambre ses fesses très en arrière sur la chaise. Sa robe serrée à la taille s'évase en amphore et lui fait un cul largement ouvert irrésistible, comme invite au viol. Lors qu'elle serre les cuisses, prude. Moi je m'occupe de mes cheveux. Longuement. Je les ai défaits. Bras en l'air, tête en arrière, mes mains s'activent à nouer un ruban. Mon buste est gonflé de mes poumons et porte mes seins en avant. Je cherche une mèche rebelle loin derrière faisant saillir les tétons sur le coton clair de mon top. Je tourne un peu droite gauche pour libérer les coques blondes sur ma nuque, et ce faisant présente les deux gonflés qui font poire, sculptant le devant du tee-shirt léger. Les gars sont chauds bouillants. L'un passe sa main sur le jean pour libérer, d'un geste preste et élégant, une bite manifestement coincée par l'étoffe dure du denim. Un autre chausse ses lunettes de myope pour mieux voir ce qu'il y a à regarder. Le troisième a gardé sa fourchette à la main, une bouchée de ...
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