Vive les rtt
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
ffh,
fplusag,
couleurs,
grossexe,
Oral
ecriv_f,
... ?— Il en sera ravi : tous les mecs rêvent d’avoir deux femmes dans leur lit ! Le soir, sous la couette, je me surprends à me caresser en évoquant la journée du lendemain. Mon piton d’amour est dressé, et mon nectar intime s’écoule le long de ma cuisse. Le matin, je prends le temps de tailler soigneusement ma toison pubienne, puis j’enfile cette fameuse robe que je portais lors de notre première étreinte. Françoise me prend au passage. Elle aussi s’est mise sur son trente et un : petite robe à fleurs sur une affriolante culotte en dentelle ; ses seins menus transparaissent sous l’étoffe. Les battements de mon cœur s’accélèrent au fil des kilomètres, et une boule chaude envahit mon bas-ventre. Devant la porte de son immeuble, je ruisselle déjà de désir. Nous nous engouffrons dans l’ascenseur. Entre deux étages, Françoise stoppe la cabine pour ôter sa petite culotte de dentelle en me lançant un regard canaille. — Je suis toute mouillée depuis tout à l’heure, en pensant que nous allons partager le même amant. J’adore être nue sous ma robe quand je vais à un rendez-vous coquin…— Pour tout t’avouer, moi aussi j’aime cette sensation ; et moi aussi, je suis trempée.— Alors enlève-la, ta culotte ! La cabine reprend son ascension vers le nirvana. Mon cœur cogne à tout rompre. Nous sonnons ; des pas s’approchent, la clef tourne dans la serrure ; notre amant est devant nous, en short, affichant un sourire éclatant, surpris de nous voir toutes les deux. — Qu’attends-tu pour nous ...
... faire entrer ?— Oh, excusez-moi : je suis un peu étonné de vous voir ensemble !— Ne dis pas que ça ne te fait pas plaisir, espèce de canaillou !— Si, bien sûr… Entrez ! Françoise, pas gênée outre mesure, se colle à lui pour lui faire la bise. Les grandes mains d’ébène caressent le dos, les reins, puis les fesses de mon amie. — Mais, tu es nue sous ta robe…— Eh bien, vérifie ! Françoise m’adresse un clin d’œil. Aussitôt, les mains de Teddy se glissent sous ses vêtements, caressent ses seins, son ventre, tandis que mon amie promène ses doigts sur le poitrail athlétique. Cette image torride m’ensorcèle. — Mais tu es toute mouillée ! constate Teddy, ayant hasardé une main dans son entrejambe.— Nous n’avons pas cessé de penser à toi !— Pourquoi, ’’nous’’ ?— Sylvie, tu crois qu’elle est venue pour faire du tricot ? Ne dis pas que tu n’es pas capable de satisfaire deux sacrées coquines comme nous !— Autant demander à un aveugle s’il veut voir ! Je ne sais pas si je serai capable d’assurer ! avoue-t-il, ravi mais un peu inquiet.— Viens, approche-toi, Sylvie ! Sa main constate l’absence de sous-vêtements en s’introduisant sous ma robe. Le contact de cette main douce et fraîche sur mon épiderme me fait frissonner d’envie. — Toi aussi, tu n’as rien en-dessous ! Françoise s’enhardit à caresser la barre imposante qui déforme son short. — C’est nous qui te mettons dans cet état ? Ses doigts s’insinuent dans nos entrecuisses. Spontanément, je m’ouvre un peu plus pour permettre à ses doigts ...