1. AU BORD DU LAC (épilogue)


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    La clarté du jour me réveilla, ainsi probablement que les bruits de la vie du camping qui s’était animé depuis longtemps Dix heures ! Je tachai de réveiller Déborah par de petits bisous qui ne furent pas plus efficaces que mes caresses. Je la secouai gentiment en lui disant tout bas « Débbie, tu ne dois pas ouvrir ton agence ? Il est déjà dix heures. » Elle se tourna, dos à moi en marmonnant » « pas ouvert le lundi. Laisse moi dormir. » En se tournant elle s’était découverte, et j’avais la vue sur sa nuque, son dos et ses fesses. Je ne pus me retenir de les caresser. La belle dans son demi-sommeil ronronna. Je restai, ainsi, étendu sur le dos, vaguement somnolent, à révasser. La fraicheur de la nuit s’était estompée et le soleil chauffait l’atmosphère de la tente. Réflexe matinal, mon sexe était triomphant, et hissait déjà les couleurs. Je repris mes caresses, où je les avais arrêtées, et parcourus d’une main légère, la courbe des hanches, puis les fesses de Debbie. Je suivais mes doigts en soufflant sur eux un petit vent. Je descendis ainsi sa colonne vertébrale, et me glissait entre ses fesses rebondies. Elle avait une jambe a demi repliée, et je pus suivre le sillon fessier. Elle se tortilla un peu quand je soufflai sur son petit trou, avant de le taquiner de l’index. La longue fente de son sexe était encadrée par le renflement de son abricot. Sous ma caresse, le sexe s’ouvrit, et je pus en écarter les bords. Dans son sommeil elle gémit un peu et son postérieur se déplaça ...
    ... vers moi. Je titillai son bourgeon qui s’érigea instantanément. Mes doigts entrèrent en elle et son bassin s’agita mécaniquement sur eux. Je me collai à elle et mon sexe remplaça mes doigts, s’introduisant en douceur dans son antre copieusement lubrifié. Je m’abutai en elle, et entrepris de petits mouvements que ses reins vinrent amplifier . Tandis que je la baisais en douceur, elle se réveilla tout à fait. « Hummmm, comme c’est bon de se faire réveiller comme ça » apprécia t’elle Elle leva une jambe qu’elle jeta en arrière, son talon s’accrochant à ma jambe pour me tirer vers l’avant. Mais la position n’était pas idéale, et elle me repoussa sur le dos pour venir s’empaler sur moi, la tête dans la toile. « C’est tout petit ici » commenta t’elle en s’allongeant sur moi. « C’est ma tente, je t’avais prévenue. » Elle roulait des hanches, son pubis frottant sur moi, son cul roulant sous mes mains « AH,Baise moi bien » émit elle Je lui expliquai, qu’en dehors de l’espace réduit, les murs de toile ne filtraient que très peu le bruit, et qu’à cette heure –ci, des gens passaient fréquemment, non loin de nous. Elle continua en s’efforçant de faire moins de bruit, mais ses soupirs explicites ne devaient pas passer inaperçus au dehors. Elle jouit presque en silence, et continua de presser ma queue de sa matrice jusqu’à ce que je crache mon jus en elle, dans un râle, un peu trop bruyant à mon goût. Elle s’allongea contre moi, me caressant le torse, m’égratignant de ses ongles peints. « ...
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