1. Mon fils m'a fait cocu (2)


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou

    Je suis cocuCe vendredi, qui aurait pu être noir, je suis rentré nettement plus tôt que d’habitude, je savais qu’Eric était à la maison, ses examens étant que le matin.Pour une raison inexpliquée, je me parquais dans le garage et ensuite sans faire de bruit, pour créer la surprise à mes chéris, je montais sans bruit avec une forêt noire pour le dessert, le posait à la cuisine et surpris, je ne les ai pas vu dans le salon, je montais discrètement à l’étage et là j’entendis des bruits qui ne laissaient pas le doute, on baisait dans notre chambre conjugale. Je reconnu la voix de mon fils et de ma femme, le doute n’était pas permis. Que faire ?Toujours discrètement, je redescendais, ressortis et je suis parti me promener, j’avais besoin de faire le point.« Quelle attitude devais-je adopter ? J’aurai dû m’en douter de les voir toujours collés l’un contre l’autre. La bandaison du fils me revient à l’esprit, ce n’était peut-être pas innocent déjà à l’époque. Quand ont-ils commencé ? Que faire ? Il faut dire que la situation m’excitait horriblement et j’étais encore plus horrifié par la réaction de mon corps. Je n’avais pourtant pas négligé ma chérie, régulièrement on baisait, c’est vrai, sans grande fantaisie et, mais elle se donnait plus que moi, je les adore les deux et sans eux, je ne pourrais pas vivre. Mais il y a trahison, Quand je pense que j’ai refusé les avances de ma secrétaire. Tiens, voilà une idée, si le week-end prochain je l’invitais, elle est encore plus jeune ...
    ... que Marie-Claude. »Je retourne à la maison et je vais voir leurs réactions. En faisant suffisamment de bruits pour qu’ils ne soient pas surpris une seconde fois, je pénètre dans le hall d’entrée, me débarrasse de mon pardessus et je les retrouve sagement assis devant la télé. Je suis soufflé, est-ce que mon absence a été si longue ou en étaient-ils à la fin du rush ? Enfin, ce n’est pas important.Nous prenons le repas du soir et je manifeste mon intention à Marie-Claude de nous retrouver dans la chambre.Une fois installés dans le lit, je commence un petit interrogatoire :— Cela fait depuis combien de temps ?— Quoi ?— Je suis rentré plus vite aujourd’hui et je vous ai entendu, il n’y avait pas de doute à avoir sur ce que vous faisiez dans notre chambre.Là-dessus, Marie-Claude part en larmes, réaction bien féminine quand un problème est insoluble. Je la prends doucement dans mes bras et l’embrasse dans le cou.— Ce n’est pas si grave que cela, dis-moi comment cela s’est passé ? Mais avant je veux contrôler quelque chose.Je me dirige à pas de loups, à moins que ce soit d’indiens et l’ouvre brusquement et je vois mon fils qui a l’oreille collée à la porte.— Tu fais quoi là, tu m’espionnes ?— Non père, j’ai eu peur pour maman !— C’est nouveau ça et pourquoi ?— Je ne sais pas, mais j’ai senti que tu étais fâché contre elle.— Je devrais à ton avis, pourquoi je serais fâché contre ma tendre épouse ?— Je ne sais pas.— Aurais-tu quelque chose à me dire à ce sujet ?— Non.— Alors file et ...
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